Le terme dans son acception générique se définit comme le manque de soins que le sujet apporte à sa vie intérieure.
Le 2 décembre 1934, dans un beau discours, le bâtonnier de Toulouse Théodore Puntous appelle ses confrères à une vigilance renforcée quant à la perte de sens dans la conduite de leur vie professionnelle comme privée.
« C’est le travail intérieur qui ennoblit l’effort. Sans lui, et en dehors de lui, notre ouvrage est semblable à celui de tous les êtres vivants qui luttent pour conserver leur vie matérielle… »
« Il dépend de nous de maintenir dans notre cœur l’élan qui le soulève, dans notre esprit l’ivresse royale de l’intelligence et de nourrir notre vie profonde de fidélité et de générosité. »