Humeur

En français, plutôt qu’en anglais

Thierry Carrere, avocat à Toulouse, ancien bâtonnier. (Crédit : DR)

Comme le rappellent régulièrement les gardiens de la langue, il existe une multitude de mots à substituer au franglais.
Ils sont le plus souvent élégants et très évocateurs. Il faut parfois regarder en direction de nos cousins québécois pour retrouver un vocabulaire d’une grande fraîcheur, conservé ou créé au fil du temps. Il est farouchement défendu face à la puissance locale et mondiale de l’anglais.
Pourquoi ces préconisations sont-elles systématiquement ignorées par des responsables officiels français, jargonneurs, prétentieux, dans l’illusion de la modernité et en réalité dépassés ?