« En ce monde, rien n’est certain, à part la mort et les impôts. » écrivait Benjamin Franklin. La France serait championne du monde. Si l’impôt rendait prospère, nous serions le pays le plus prospère. Si l’impôt rendait heureux, les Français seraient les plus heureux au monde.
Dans les faits, le modèle économique de la courbe de Laffer se vérifie à chaque fois, l’impôt tue l’impôt, le taux élevé finit par faire disparaître sa base. Mais comme le Mozart de la finance n’a su composer qu’un requiem, ils vont encore augmenter…