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Les estivales de Saint-Romain (82)

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L’Association Fauroux patrimoine présente cette année les Estivales de Saint-Romain, le 15 août à 17 heures. Le parvis de l’église de l’église Saint-Cyprien dans le village de Fauroux accueillera une scène de concert en plein air. Au programme : un concert flamenco présenté et produit par Christophe Pérez et Judith Martinez, Tal y Cual. Ce duo s’accorde à présenter au public les trois composantes du flamenco traditionnel, à savoir le chant, la danse et la guitare, se rencontrent et se mettent en valeur dans la simplicité et la complicité.
www.sacree-saint-antoine.fr

Exposition Michèle Arrieux-Filippi, jusqu’au 15 août

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Cette manifestation, qui se déroule au château Richard Cœur de Lion à Saint-Nicolas-de-la-Grave (82), rend hommage à l’artiste Michèle Arrieux-Filippi, aussi connu sous le nom de MAF. Depuis 1991, cette artiste installée dans l’Hérault, expose dans de nombreux salons, galeries et musées, en France mais aussi à l’étranger, comme au Japon, aux États-Unis, en Espagne ou encore aux Pays-Bas. Interprétation puissante des formes dans un espace fragmenté, Michèle Arrieux-Filippi peint la féminité avec force et lyrisme. Une vingtaine d’œuvres de cette ancienne élève des Beaux-Arts de Toulouse sont ainsi présentées au public. Douces et sensuelles, ses toiles marient puissance de la couleur et plénitude des courbes. Son objectif est de magnifier la femme en prônant une acceptation de soi dans une société rongée par les critères de féminité. Gratuit. 05 63 95 92 55

Polo GTI : espèce en voie d’extinction

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Dans le prolongement des versions restylées plus sages, Volkswagen avait annoncé l’arrivée d’une GTI. Promesse tenue avec une petite berline survitaminée de 207ch.

Les jours des petites berlines sportives thermiques sont comptés, on le sait. Elles désertent les gammes des grands constructeurs les unes après les autres, sacrifiées avec d’autant moins de scrupules qu’elles sont devenues des modèles de niche. À l’heure où les grands groupes industriels du secteur sont contraints de raisonner en termes d’émissions de CO2 et d’investir des milliards d’euros dans l’électrification à marche forcée de leur catalogue, elles ne pèsent pas lourd.

Quelques marques n’abdiquent pas. C’est le cas de Volkswagen en particulier. Lors de la présentation des versions restylées de son best-seller, VW avait promis une GTI. Elle vient d’être dévoilée, poursuivant une histoire de plus de deux décennies. Pour beaucoup, la Polo GTI est l’héritière directe de la Golf GTI originelle dont elle a peu ou prou les dimensions (4,07m de long) à défaut du poids (1 286 kg).

Cœur de la plus GTI des GTI : un 2l quatre cylindres turbo suralimenté de 207ch, accouplé à une boite DSG à double embrayage à sept rapports. Un attelage performant : 0 à 100 km/h en 6,5 secondes, couple maxi de 320Nm disponible entre 1 500 et 4500tr/mn.

Une voiture réactive

Disposant de trains roulants spécifiques avec notamment deux lois d’amortissements et quatre modes de conduite au choix agissant sur la direction, le moteur et le passage des rapports, blocage de différentiel électronique XDS en série, cette GTI répond aux desiderata de son conducteur. Elle peut recevoir une multitude d’équipements de sécurité et de confort et d’innombrables aides à la conduite dont un régulateur de vitesse actif prédictif pouvant aller jusqu’à l’arrêt complet.

La Polo GTI, comme ses sœurs moins turbulentes, se rapproche de la conduite autonome. Mais est-ce pour cela qu’on l’achètera ? À bord, place au tout numérique avec plusieurs choix d’écrans possibles et des systèmes d’info-divertissement de dernière génération.

Cette technologie fait bon ménage avec les signes traditionnels des sportives de la marque : touches de noir, de gris et surpiqûres rouges, sièges habillés du fameux tissu à carreaux « clark » gris-rouge et noir, monogrammes GTI apposés un peu partout. Bien campée sur ses jantes en alliage de 17 pouces (18 en option) laissant apercevoir ses étriers de reins rouges, assiette abaissée de 15mm : la Polo GTI reste fidèle à sa légende. C’est l’essentiel !

VNF lance un appel à manifestation d’intérêts pour la relance d’une activité logistique fluviale en centre-ville de Toulouse

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Implanter une activité de distribution urbaine par les canaux toulousains, via l’installation d’un ou plusieurs acteurs économiques sur une parcelle du domaine public fluvial située en entrée nord de la ville, ainsi que sur les différents quais du centre-ville, tel est l’objectif de l’appel à manifestation d’intérêt lancé le 26 juillet dernier par Voies navigables de France. Idéalement situé au cœur de la zone logistique de Fondeyre, à proximité immédiate de la rocade et du Marché d’Intérêt National de Toulouse, et disposant d’un quai fluvial opérationnel, le site fluvial de Lalande permet de servir de lieux de massification des flux, tandis que la distribution de l’hypercentre est possible via différents quais de chargement ou déchargement de marchandises le long du canal du Midi. Les activités recherchées devront répondre aux objectifs suivants : participer au développement économique de la Métropole de Toulouse ; développer le report modal en favorisant l’implantation d’une activité économique utilisatrice régulière de la voie d’eau pour le transport de marchandises à travers des dessertes sur les différents quais toulousains ; veiller à la complémentarité avec les activités déjà en place (circulation, maîtrise du bruit) et les activités touristiques (passage de péniches, association Toulouse aviron, piste cyclable) ; inscrire l’activité envisagée dans un cadre respectueux tant de l’environnement que des règles du développement durable et de limitation des nuisances.
Les entreprises intéressées ont jusqu’au 30 octobre pour envoyer leur candidature. Pour consulter l’AMI, rendez-vous sur le site internet www.vnf.fr.

3e ligne de métro : lancement des premiers avis d’appel public à la concurrence pour les lots de génie civil à l’automne

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200 personnes issues des entreprises de génie civil ont assisté à la rencontre organisée le 5 juillet par Jean-Michel Lattes, président de Tisséo Collectivités et président de Tisséo Ingénierie, et Nicolas Misiak, vice-président du conseil d’administration de Tisséo Ingénierie, pour présenter le projet de 3e ligne de métro, l’allotissement retenu pour le génie civil et les attentes de Tisséo. Cette présentation doit permettre aux entreprises de se préparer aux consultations et mettre en exergue leur savoir-faire. Le comité syndical du 2 juin a validé l’avant-projet de la 3e ligne de métro. Cette étape permet d’engager le lancement des premiers avis d’appel public à la concurrence (AAPC) pour les lots de génie civil à l’automne 2021. Les achats de travaux liés à ces lignes de métro représentent un peu plus de 2 Mds€, dont environ 1 Md€ pour les travaux de génie civil, faisant de ces marchés les plus importants lancés par Tisséo. Ces projets d’envergure permettront la création de plus de 23 500 emplois/an en lien direct avec le chantier. Pour les entreprises retenues au terme des appels d’offres, il s’agit de réaliser 17 stations souterraines et quatre stations aériennes.

Airbus rejoint le consortium canadien SAF + pour accélérer le développement d’un carburant plus vert

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Airbus et le consortium SAF +, basé à Montréal, ont signé un protocole en vue de collaborer avec les principaux acteurs de l’industrie aéronautique canadienne au développement et à la production de carburant aviation durable (CDA) en Amérique du Nord. Airbus apportera son expertise technique et de certification et son analyse économique. Le consortium SAF + regroupe des entreprises aérospatiales et des institutions de recherche québécoises clés, telles qu’Air Transat, Hydro-Québec, l’Aéroport de Montréal, Polytechnique Montréal et Aéro Montréal. Son objectif est de faire de Montréal une plaque tournante de l’aviation durable en Amérique du Nord par la construction et l’exploitation d’une usine pilote de production de carburant aviation durable. Située près de Montréal, cette usine pilote produira un type de carburant connu sous le nom de Power-to-Liquid synthetic e-fuel (PtL), à savoir du dioxyde de carbone (CO2) capturé synthétisé avec de l’hydrogène (vert) renouvelable. Le processus consiste à capter le CO2 des grands émetteurs industriels et à le convertir en un carburant alternatif. Lequel aura une empreinte carbone de 80 % inférieure à celle du carburéacteur classique. Le consortium s’appuie sur l’engagement d’Air Transat d’acheter une partie importante du SAF (sustainable aviation fuel) produit à l’usine pour sa flotte d’avions Airbus. SAF + prévoit de produire du carburant durable dès le deuxième trimestre de 2021 dans sa première usine pilote. La production devrait atteindre 30 millions de litres en 2025.

Jérôme Navarre de retour à Gimont

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La Villa Cahuzac, hôtel 3* et restaurant de Gimont a changé de direction mi-juin et s’appelle désormais « La Maison Navarre ». Propriétaire des lieux depuis l’ouverture en 2007, Pierre Dubarry cède l’établissement au chef de cuisine Jérôme Navarre. Originaire de Boulogne-sur-Gesse, celui-ci effectue un retour aux sources après avoir affûté ses couteaux à Paris et à Toulouse où il a monté sa fameuse table d’hôtes « Chez Navarre ». Garder l’âme de la maison tout en la modernisant, voilà le challenge que s’est donné Jérôme Navarre, lequel mise sur une cuisine simple, « sans chichis », mettant en avant les produits locaux. La partie hôtel conserve ses 12 chambres et quatre appartements, affiliée à la chaîne Logis, fréquentée essentiellement par une clientèle affaire.

La Région accompagne l’initiative 1 000 cafés du Groupe SOS pour recréer des lieux de convivialité et de services en milieu rural

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Le groupe SOS, qui s’affiche comme la première entreprise sociale d’Europe, porte le programme 1 000 cafés dont l’ambition est de favoriser l’ouverture ou la reprise de cafés multiservices dans les communes de moins de 3 500 habitants et de revitaliser le milieu rural. Un appel à candidature a été lancé en septembre 2019. Il est toujours en cours. Cette initiative a séduit la Région Occitanie, qui a décidé d’en devenir partenaire. Ce partenariat permettra de renforcer la dynamique d’ouverture de lieux de convivialité multiservices dans les communes rurales du territoire qui ont manifesté leur intérêt pour travailler avec l’initiative 1 000 cafés. Le programme 1 000 cafés accompagne déjà 13 communes, dans huit départements de la région : Degagnac (46), Gramond (12), Canaules et Argentières (30), Villedubert (11), Valentine (31), Thil (31), Técou (81), Odos (65) et Saint-Martin d’Oydes (09), Capendu (11), Labastide de Lévis (81), Murat sur Vèbre (81) et Montgesty (46). Dans ces quatre dernières communes, dès cet été, ce sont quatre cafés qui ouvrent leurs portes après plusieurs années de fermeture. La Région accompagne ces réouvertures avec une aide globale de 34 525 € attribuée à 1 000 cafés pour soutenir les projets déployés. Près de 150 communes d’Occitanie ont aujourd’hui manifesté leur volonté d’engager un projet
d’ouverture d’un café multiservices.

3 200 logements neufs en quatre ans grâce au soutien de Toulouse Métropole

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Premier bailleur public de Haute-Garonne, Toulouse Métropole Habitat ambitionne de construire 3 200 logements sociaux en quatre ans et la réhabilitation d’une grande partie de son parc d’ici 2030. Avec 34 000 demandes de logements sociaux en attente en Haute-Garonne en 2016, 45 000 en 2020 et une projection à 55 000 en 2025, la production de logements sociaux est en effet devenue une priorité sur le territoire de la Métropole. Pour atteindre l’objectif que Toulouse Métropole Habitat s’est fixé, à savoir la construction de 800 logements par an de 2022 à 2026, le Conseil métropolitain de Toulouse Métropole, réuni le jeudi 24 juin, a voté la souscription de 13,5 M€ de titres participatifs émis par Toulouse Métropole Habitat, permettant ainsi de soutenir la construction et la réhabilitation du parc d’habitat social de Toulouse et des communes de Toulouse Métropole. Grâce à ces titres participatifs et à ses fonds propres, Toulouse Métropole Habitat projette que d’ici 2030 80 % de son parc, qui comptera alors 21 000 logements, ait été construit ou réhabilité depuis moins de 15 ans. Centenaire en 2021, Toulouse Métropole Habitat est l’office public de l’habitat de la métropole toulousaine. Il gère 18 600 logements, soit le tiers du parc social de l’agglomération toulousaine, et emploie 416 personnes réparties sur un siège social, trois agences territoriales et 37 pôles de proximité. En 2020, son activité de vente a permis 127 ventes en location-accession et 115 ventes de logements anciens.

T-Live Média lauréate du Challenge Innovation de Toulouse Métropole

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Ladjal Reziga, fondateur de T-Live Média vient de remporter le prix « Challenge Innovation » de Toulouse Métropole qui récompense des solutions durables et innovantes pour la ville de demain. Cette distinction s’accompagne d’une subvention de 25 K€, laquelle permettra à la start-up de poursuivre le déploiement de sa solution. Fondée en 2019, la pépite toulousaine propose un dispositif complet de diffusion vidéo en temps réel qui permet de faire vivre les événements en immersion. Le « KAYS » est ainsi un sac à dos nomade et autonome, équipé d’une brique technologique (caméras, stabilisateur, batteries, modem 4G/5G multi-opérateurs, carte et système d’exploitation), couplé à une application mobile de régie vidé́o, nommée « T-Live Remote  ». L’application disponible via différents devices permet ainsi de contrôler le sac en temps réel et à distance. T-Live Média a d’ores et déjà, grâce à son concept novateur, séduit de grands événements tels que la Japan Expo à Paris, la Paris Games Week, le Forum toulousain « Le Numérique prend ses quartiers… » Déjà lauréate du French Tech Tremplin en décembre 2020, la start-up toulousaine, forte de quatre collaborateurs, est actuellement incubée au centre d’innovation B612 à Toulouse.

La chute sans fin du diesel

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À quel niveau se situeront les ventes de diesel au moment où les modèles l’utilisant seront bannis des catalogues des constructeurs ? Au rythme de la décrue des immatriculations, cela risque de ne pas affecter grand monde. En juin, seulement 20 % des voitures neuves étaient des diesels. Un chiffre inédit depuis plus de 40 ans. Sans remonter à la période hégémonique du diesel, il suffit de se rappeler qu’en 2015 il représentait 57 % des voitures particulières mises sur le marché et 52 % l’année suivante. En juin 2019, les diesels fédéraient encore plus d’un tiers des acheteurs. Depuis, la tendance s’est accentuée. Pas une seule fois depuis le début de l’année, la part de diesel n’a excédé les 25 %. À l’issue du premier semestre, seulement 23 % des immatriculations concernaient des voitures roulant au gazole Un recul de 8 % sur un an. Certaines marques ont décidé de ne plus en proposer sur leurs nouveaux modèles, ce qui contribue à accélérer un mouvement qui semble irréversible.

En parallèle, la montée en puissance des hybrides s’est confirmée au point de dépasser les diesels avec 24,3 % des immatriculations de voitures neuves (223 807) dont 71 708 versions rechargeables s’octroyant à elles seules 8,7 % des ventes du premier semestre. La catégorie, après avoir longtemps stagné, décolle enfin grâce à une offre en forte progression. Les 100 % électriques gagnent elles aussi du terrain avec 72 545 voitures écoulées en six mois et 7,9 % du total des immatriculations depuis le début de l’année. La baisse des aides fiscales pour les 100 % électriques et dans une moindre mesure pour les hybrides rechargeables a sans doute incité les acheteurs à anticiper leur décision d’achat avant le 1er juillet.

Enfin, les modèles utilisant la bicarburation GPL/GNV sortent de la marge, en particulier grâce à Dacia avec ses offres « usine ». Au premier semestre, 23 000 voitures à bicarburation ont été immatriculées pour atteindre 2,5 % du marché. Les voitures roulant au sans-plomb restent cependant majoritaires mais leurs ventes régressent. Elles se sont établies à 42,3 % (390 686) du total. Par voie de conséquences, les émissions moyennes de CO2 reculent nettement, passant de 123,2 g/km en juin 2020 (norme WLTP) à 107,5 g/km. Le progrès est significatif mais loin de la norme européenne de 95 g/km en vigueur depuis le 1er janvier…

La filière du bio poursuit son développement avec une croissance de 10 %

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L’Occitanie occupe une place majeure dans l’agriculture biologique française avec 22 % des surfaces bio nationales. Elle
est ainsi la première région pour les surfaces et le nombre de fermes bio, la troisième pour la part en bio, derrière Paca et la Corse, ainsi que pour le nombre d’opérateurs de l’aval derrière l’Ile-de-France. La filière poursuit ainsi son développement avec 12 000 producteurs bio et en conversion, soit une progression de 10 % par rapport à 2019, repésentant 556 600 ha bio, dont 123 200 ha en conversion. Dans le détail, 18 % des fermes et des surfaces de la région sont labélisées bio. Si les taux de croissance des surfaces et du nombre de fermes bio sont diminuent légèrement par rapport à 2019 (- 2 points), ils affichent une progression de + 10 %. Les principales filières végétales concernent notamment les grandes cultures (149 000 ha), la vigne (51 100 ha) et les fruits et légumes (12 800 ha).

Deux nouvelles ouvertures pour la Maison Gomez

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La marque toulousaine, créée en 1962, spécialiste en carrelage et en salle de bain, et dont le siège social est basé à Labège, développe son réseau avec une quatrième implantation en ce début d’été à Albi et une cinquième prévue en 2022 à Montpellier. Une ouverture qui marque l’arrivée officielle de la quatrième génération à la tête de la Maison Gomez, Manuel Gomez prenant ainsi la succession de son père, Marc Gomez, qui a fait valoir ses droits à la retraite en avril dernier. « Notre objectif est d’étendre la marque Gomez dans les cinq ans en ouvrant un magasin par an tout en conservant l’état d’esprit familial et l’excellence de la Maison », explique Manuel Gomez, le nouveau président. La PME intègre désormais la vente de peinture, de papier peint, de parquet et de sol souple ainsi que la maîtrise d’œuvre en rénovation de salle de bain. Fort de 21 salariés, le groupe vise un chiffre d’affaires de 5 M€ en 2021.

Installation de bornes de recharge électriques dans les parcs relais Tisséo

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Jean-Michel Lattes, président de Tisséo Collectivités, a inauguré, en présence des représentants d’Allego France, le 9 juillet dernier, le nouveau système de recharge des véhicules électriques installés au sein des parcs relais du réseau Tisséo. Au total, 48 bornes de recharge équiperont, à terme, les parcs relais des quatre terminus des lignes de métro Borderouge, Balma Gramont, Ramonville et Basso Cambo. Les quatre hubs de recharge proposent différentes typologies de bornes permettant de délivrer des puissances de charge allant de 22 kW à 350 kW pour répondre à l’ensemble des besoins des utilisateurs, de la recharge lente (2 à 4 heures) à la recharge ultrarapide (15 à 30 minutes). L’accès à ce service sera possible via différents moyens de paiement comme la carte bancaire ou l’application mobile Smoov.

Arterris développe sa filière culture raisonnée contrôlée (CRC)

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Le groupe coopératif agricole, Arterris, qui fédère plus de 25 000 agriculteurs, renforce la R & D de sa filiale meunière les Moulins Pyrénéens. Leader sur la production de blé dur en France, Arterris souhaite développer sa filière culture raisonnée contrôlée (CRC) et biologique. Pour l’heure, 12 % de la production issue des Moulins Pyrénéens provient de blé CRC. D’ici à l’horizon 2024, la coopérative envisage de valoriser entre 8 000 et 10 000 tonnes de blé CRC. « Les impératifs liés au cahier des charges CRC profitent à l’ensemble de la filière, puisqu’ils assurent une juste rémunération aux producteurs et garantissent la sécurité alimentaire et un respect de la biodiversité aux industriels et aux consommateurs », explique Antoine Bernabé, directeur industriel de Moulins Pyrénéens. La coopérative Arterris et les Moulins Pyrénéens poursuivent ainsi le développement des filières vertueuses comme la farine de blé CRC et biologique, produite en Occitanie. Ce virage a notamment débuté en 2012 par la mise en place de la baguette Minutie, produite à partir d’une farine 100 % blé dur à la culture raisonnée. La coopérative a ensuite procédé en janvier 2020 au rachat de la société l’Epi Salvagnacois, spécialiste de la collecte de céréales dans des filières de qualité.