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L’ARS Occitanie finance des centres de ressources territoriaux pour aider les seniors à bien-vieillir chez eux

La Gazette du Midi
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Selon les données de l’Insee, il y avait en 2019 en Occitanie, 230 000 habitants âgés de plus de 85 ans, cela représentait 3,9 % de la population. En 2024, ils seront 407 000, soit 6,3 %. Pour de nombreux seniors, continuer à vivre chez soi malgré une perte d’autonomie est un souhait souvent malheureusement difficile à réaliser. Et pour cause, les passages de l’aide à domicile et de l’infirmier(e) peuvent devenir insuffisants.

Pour répondre à ce besoin croissant, l’Agence Régionale de Santé (ARS) Occitanie a décidé de financer la création de centres de ressources territoriaux (CRT) sous le label « Le choix de vieillir chez moi ». 17 CRT sont désormais opérationnels dans 12 des 13 départements de la région, tant dans les grandes villes de la région comme Montpellier, que dans les zones rurales comme Seix en Ariège.

Ce dispositif s’adresse aux personnes de plus de 60 ans, en perte d’autonomie, ayant besoin d’aide ou de soins pour la vie quotidienne et pour qui les services existants ne suffisent plus, notamment après un séjour à l’hôpital. Les équipes de professionnels du grand âge interviennent directement auprès des personnes âgées souhaitant rester chez elles, offrant des services intégralement financés par l’ARS et accessibles gratuitement.

Quels sont les services proposés ?

  • Les conseils d’un ergothérapeute pour adapter et sécuriser votre domicile,
  • Une téléassistance 7j/7 et 24h/24 qui peut déclencher l’intervention d’un professionnel si nécessaire,
  • Des consultations avec des professionnels de santé au sein d’un Ehpad à proximité,
  • Des ateliers de prévention : ateliers anti chutes, ateliers mémoire,
  • Des activités de loisirs et de convivialité (repas partagé, visites culturelles, jeux de société, ateliers sportifs, etc.) avec possibilité de transport,
  • Des conseils et un soutien pour les aidants.

D’ici 2028, 50 centres devraient être ouverts sur l’ensemble de la région Occitanie. Pour contacter le CRT de votre département, cliquez-ici.

Europolia ouvre son capital à 23 communes de Toulouse Métropole

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Photo de l'écoquartier de la Cartoucherie à Toulouse printemps 2023.
Oppidea et Europolia gèrent plus de vingt projets d’aménagement urbain dont l’écoquartier de la Cartoucherie. (©Oppidea Europolia)

Spécialisée dans l’aménagement et le renouvellement urbain durable, la société publique locale Europolia a acté le 17 juillet 2024, à l’issue de sa dernière Assemblée Générale extraordinaire, l’entrée à son capitale de 23 communes de Toulouse Métropole : Aigrefeuille, Aucamville, Ausonne, Beauzelle, Blagnac, Brax, Castelginest, Colomiers, Cugnaux, Fenouillet, Fonbeauzard, Gagnac-sur-Garonne, L’Union, Launaguet, Lespinasse, Mondoville, Montrabé, Pibrac, Saint-Alban, Saint-Jory, Toulouse, Tournefeuille et Villeneuve-Tolosane.

Europolia marque ainsi une nouvelle étape de sa transformation, élargissant ses capacités d’intervention au service de ses collectivités actionnaires. Cela fait suite à l’évolution de l’objet social d’Europolia adopté le 2 novembre 2022, passant de Société publique locale d’aménagement (SPLA) à Société publique locale (SPL).

Avec une équipe pluridisciplinaire de 85 collaborateurs, le groupe Oppidea Europolia pilote aujourd’hui plus d’une vingtaine de projets d’aménagement et de renouvellement urbain, des projets de construction d’équipements publics, de co-promotion immobilière, de foncière commerciale, de rénovation énergétique et de production d’énergies renouvelables.

Parmi ces projets, celui du Grand Matabiau quais d’Oc, qui comprend notamment la construction d’ici 2030 d’une Halle des Transports de 4 400 m2, d’une vélostation de 1 000 places ou encore un immeuble de bureaux de plus de 6 300 m2. Ce programme immobilier ambitieux, vise, dans la perspective de l’arrivée de la LGV, à transformer la gare en véritable pôle d’échanges en combinant différents modes de transport (train, métro, vélo).

Le second concerne l’écoquartier de La Cartoucherie situé sur la rive gauche de la Garonne. Véritable laboratoire urbain, cet ensemble immobilier comprendra à terme de plus de 3500 logements.

Thales Alenia Space et Map Space Coatings signent un accord-cadre pluriannuel

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Les produits Map Space Coatings
Map Space Coatings fournit des revêtements pour les satellites. ©Map Space Coatings

Créée en 1986 et basée à Mazères, en Ariège, Map Space Coatings est spécialisée dans les revêtements de surface pour satellites et lanceurs, dont elle assure à la fois la conception, la fabrication et l’application. Elle vient d’annoncer la signature d’un nouvel accord-cadre pluriannuel avec Thales Alenia Space. La PME ariégeoise, qui travaille depuis plusieurs années avec le systémier européen, fournira les différents revêtements de surface de ses satellites.

La société travaille également pour des industriels de différents domaines d’activités (spatial, aéronautique, électronique, défense, etc.), en étroite collaboration avec des partenaires techniques de référence comme des agences spatiales tels que le Cnes ou l’Agence spatiale européenne, des universités ou encore des centres de recherche comme l’Onra.

« Nous travaillons en bonne intelligence avec Thales Alenia Space depuis de longues années. La signature de cet accord important est la reconnaissance de la volonté de nos deux sociétés de projeter leur relation d’affaires dans la durée », estime Pierre Valenti, directeur général de l’entreprise mazèrienne.

Dans le domaine spatial (qui représente plus de 90% de son chiffre d’affaires), Map Space Coatings fournit des revêtements pour les satellites d’Airbus Defence & Space et de Thales Alenia Space, ainsi que pour les lanceurs Ariane 6, Vega ou encore KSLV-2. Elle compte également parmi ses clients quelques acteurs de référence de l’écosystème du New Space, comme Anywaves, Comat, Exotrail, Hemeria ou encore Mecano ID.

Signature d’une convention de partenariat entre la CCI Occitanie et les Urssaf Occitanie

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Photo de François Hiebel, Marc Darolles, Jean-François Rezeau, Thierry Clerc, Valérie Lemaire et Jean Dokhelar
De gauche à droite : François Hiebel, directeur de l’Urssaf Languedoc-Roussillon, Marc Darolles, président de l’Urssaf Midi-Pyrénées, Jean-François Rezeau, président CCI Occitanie, Thierry Clerc président de l’Urssaf Languedoc-Roussillon, Valérie Lemaire, directrice CCI Haute-Garonne, Jean Dokhelar, directeur de l’Urssaf Midi-Pyrénées. (©CCI Occitanie)

La Chambre de commerce et d’industrie d’Occitanie (CCI), l’Union de recouvrement de la sécurité sociale et des allocations familiales (Urssaf) Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon ont signé une convention de partenariat le 8 juillet 2024. Cette collaboration stratégique vise à renforcer « les synergies entre ces institutions au bénéfice des entreprises et des travailleurs indépendants de la région ».

Les axes de coopération définis par cette convention sont nombreux et variés :

  • Échange de données statistiques : mise en place de modalités précises pour la transmission et l’utilisation des données afin de mieux comprendre l’évolution économique de la région ;
  • Accompagnement à la création et au développement d’entreprises : organisation conjointe de sessions d’information et de conseils destinées aux créateurs, repreneurs et porteurs de projets, ainsi qu’aux entreprises en développement ;
  • Soutien aux entreprises en difficulté : coordination des politiques d’accompagnement des entreprises et des travailleurs indépendants avec une attention particulière aux dispositifs spécifiques comme les aides d’action sociale et le dispositif HELP ;
  • Contrôle et prévention Urssaf  : actions de sensibilisation sur les risques de travail illégal et sur les principaux motifs de redressement ;
  • Information et sécurisation des entreprises se développant à l’international sur les sujets de détachement et de la polyactivité ;
  • Coopération renforcée autour de sujets communs : prise en charge de problématiques ou dossiers spécifiques, sensibilisation et information, relais de communication afin d’offrir des solutions adaptées aux besoins des entreprises.

Pour mémoire, le réseau des CCI d’Occitanie (1 CCI régionale et 13 CCI territoriales) regroupe 522 membres élus et 2 000 collaborateurs et compte 370 000 entreprises ressortissantes exerçant dans les domaines de l’industrie, du commerce et des services.

L’entreprise Façades Tarnaises fait un don de 2 587 € au Centre hospitalier de Castres-Mazamet

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Photo du centre Hospitalier Intercommunal Castres-Mazamet dans le Tarn
Centre Hospitalier Intercommunal Castres-Mazamet dans le Tarn. (©CHIC)

Façades Tarnaises, l’entreprise spécialisée dans le revêtement exterieur depuis 2019, applicateur exclusif et membre du réseaux Vertikal dans le sud du Tarn, a récemment démontré son engagement communautaire en remettant un chèque de 2 587 € au Centre Hospitalier Intercommunal de Castres-Mazamet.

Ce don a permis l’organisation d’un après-midi musical et culinaire pour les résidents des quatre établissements pour personnes âgées du CHIC, « renforçant ainsi les liens sociaux et apportant de la joie aux participants », déclare l’entreprise tarnaise. Cette action, menée via l’association « Une Façade sur la Vie », s’ajoute à d’autres initiatives solidaires, portant le total des dons de l’entreprise à près de 6 000 € depuis 2020.

En plus de son engagement social, la société Façades Tarnaises connaît une forte croissance. Elle a en effet doublé le nombre de ses chantiers en 2023 et prévoit une croissance à deux chiffres pour 2024. Intégrée au réseau d’excellence SynerCiel, l’entreprise bénéficie d’une réputation solide, soutenue par une note de 4,9/5 sur le site de notation Eldo. Pascal Panis, dirigeant de Façades Tarnaises, souligne « la priorité donnée à la satisfaction client et à la qualité des prestations », éléments clés de leur succès continu.

Toulouse INP : Gérald Debenest élu vice-président de la CFVU

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Photo de Gérald Debenest
Gérald Debenest est le nouveau vice-président de la Commission de la Formation et de la Vie Universitaire (CFVU) de Toulouse INP. (©Toulouse INP)

Avec 24 voix pour et trois votes blancs, Gérald Debenest a été élu le 11 juillet 2024 vice-président de la Commission de la formation et de la vie universitaire (CFVU) de l’Institut national polytechnique de Toulouse, communément appelé Toulouse INP. Face à la commission, le principal intéressé s’est engagé à placer son mandat « sous le signe de l’innovation pédagogique, de la diversité et de la collaboration ». Il a par ailleurs annoncé vouloir « renforcer la qualité de la formation et de la vie universitaire au sein de l’école ».

Titulaire d’un doctorat en combustion de l’Université de Poitiers et d’une habilitation à diriger des recherches de Toulouse INP, Gérald Debenest souhaite promouvoir « une pédagogie innovante et diversifier les options de formation afin de répondre aux besoins évolutifs des étudiants et du marché du travail ». Son programme inclut également la promotion de la mobilité internationale et nationale, ainsi que l’intégration des enjeux de développement durable dans les parcours éducatifs.

Le nouveau vice-président de la CFVU a également rappelé sa volonté de faire évoluer la formation vers un modèle « ingénieur en T », combinant un socle de connaissances vertical pendant les trois premières années avec une transversalité sectorielle. Ce modèle devrait être pleinement déployé d’ici 2030, afin de créer une « université des transitions » développant des parcours transversaux et des enseignements partagés.

Membre de l’Alliance nationale de coordination de la recherche pour l’énergie (ANCRE) et expert pour la région Occitanie sur les thèmes des matériaux et de l’aéronautique, Gérald Debenest est depuis 2013 professeur des universités à Toulouse INP et à l’IMFT, où il dirige le département MF2E. Spécialiste des milieux réactifs, ses recherches portent sur les phénomènes de transport couplés de masse et de chaleur dans des milieux poreux, ainsi que sur la combustion et la pyrolyse.

Il a publié 85 articles, trois chapitres d’ouvrages et détient un brevet. Ses contributions académiques comprennent la direction de 16 thèses soutenues et l’encadrement actuel de cinq doctorants. Gérald Debenest participe par ailleurs activement à la revue d’articles pour plusieurs revues scientifiques, telles que Nature et Fuel, et est co-éditeur du journal Carbon Neutrality.

Appel à candidatures pour le Prix Santé Entrepreneurs d’Harmonie Mutuelle

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Photo des lauréats occitans du Prix Santé Entrepreneurs d'Harmonie Mutuelle 2023
Lauréats occitans du Prix Santé Entrepreneurs d’Harmonie Mutuelle 2023. (©Harmonie Mutuelle)

Engagée auprès de plus de 15 000 entreprises en Occitanie, Harmonie Mutuelle, entreprise mutualiste à mission et membre fondateur du Groupe VYV, récompense chaque année, avec le « Prix Santé Entrepreneurs », les projets d’entrepreneurs ayant la volonté d’améliorer leur santé mais aussi celle de leurs collaborateurs, de leur écosystème, et d’encourager les actions de solidarité entre entrepreneurs. Avec trois prix par région et six prix nationaux, ce sont plus de 40 000 € de récompenses qui sont en jeu pour encourager les actions en faveur de la santé et de l’écologie.

Pour cette 5e édition, les entrepreneurs d’Occitanie ont jusqu’au 25 septembre 2024 pour faire acte de candidature. Le prix prend la forme d’une dotation allant de 5 000 € pour le premier prix à 1 000 € pour les prix coups de coeur. Les lauréats régionaux seront connus le 11 octobre avant les lauréats nationaux dévoilés le 8 novembre. Pour candidater, cliquez-ici.

Qui peut participer ?

  • Si vous êtes entrepreneur (artisan, commerçant, micro entrepreneur, professionnel libéral, gérant, PDG)
  • Si vous avez moins de 20 salariés (ou vous êtes entrepreneur solo),
  • Si vous avez créé votre entreprise il y a plus d’un an,
  • Si vous avez mené une action pour améliorer votre santé ou celle de vos collaborateurs,
  • Si vous êtes acteur de solidarité envers d’autres entrepreneurs,
  • Si vous êtes acteur de la transition écologique au bénéfice de la santé des individus et de la société.

« Harmonie Mutuelle protège et accompagne les entrepreneurs dans le développement de leur activité. Mais notre engagement va plus loin. Nous sommes convaincus qu’intégrer la santé dans une démarche globale de performance est une condition de réussite et de pérennité entrepreneuriales. En qualité d’Entreprise Mutualiste à mission, engagée auprès des entrepreneurs et de leurs salariés, nous mettons à leur service tout un collectif pour les écouter, les protéger et les accompagner dans leur vie professionnelle et personnelle. Avec le Prix Santé Entrepreneurs, nous valorisons les initiatives innovantes menées dans les territoires, au service de la santé, du bien-être et de la solidarité entre entrepreneurs. Une mission qui est au coeur de notre raison d’être », déclare Frédéric Malfilatre, directeur régional Occitanie Harmonie Mutuelle.

Corrida pédestre de Toulouse : 24 000 € remis à deux associations

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Photo de la remise de chèque de 24 000€
Cette année, un chèque de 24 000€ a été remis aux associations Les Gladiateurs, qui soutient les familles d’enfants malades et Au Talent by Matyss, qui oeuvre au profit des enfants et adolescents atteints de diabète. (©CA31)

La 23e édition de la Corrida Crédit Agricole Toulouse 31 a rassemblé plus de 250 bénévoles et près de 6 000 coureurs dans les rues de Ville rose le 5 juillet 2024. Devenu au fil des ans un événement sportif solidaire incontournable, cette course a pour vocation d’aider des associations en lien avec la petite enfance.

Et comme il est désormais de coutume, le 11 juillet dernier, Philippe Durr, président de l’association Corrida Pédestre, Nicolas Mauré et Céline Thiaville, respectivement président et directrice expérience clients et territoire du Crédit Agricole Toulouse 31 ainsi que les partenaires ont remis un chèque d’un montant global de 24 000 € - soit la totalité des bénéfices de la course - à deux associations :

  • Les Gladiateurs, qui soutient les familles d’enfants malades en organisant pour les plus jeunes des ateliers sportifs, des sorties, des activités et ateliers d’éveil et pour les adultes des réunions et des groupes de paroles. La structure met également en place une ligne téléphonique d’écoute lors des hospitalisations, pré-op et post-op, prodigue des conseils pour la vie quotidienne au retour d’hospitalisation et apporte une aide dans les démarches administratives, etc. Elle mobilise aussi des professionnels de la santé : psychologues, kinésithérapeutes, psychomotriciens, sage-femmes, éducateurs de jeunes enfants et assistants sociaux.
  • Au Talent by Matyss, qui oeuvre à informer et à accompagner les jeunes diabétiques pour qu’ils expriment leurs talents sportifs ou artistiques sans complexe ni limite. À l’occasion d’événements sportifs, les membres de la structure informent sur cette maladie et organisent des démonstrations, des compétitions et des initiations au basket-ball, au skate-board et au graffiti. Les bénéfices de l’association sont reversés à Enfance Adolescence et Diabète.

« Partenaire fidèle de la Corrida, nous sommes heureux de soutenir cette course solidaire et conviviale qui est chère aux sportifs Haut-Garonnais. Nous partageons les valeurs de solidarité, d’engagement et de proximité ainsi que l’engagement écoresponsable de l’équipe organisatrice de la Corrida qui fait écho à la démarche environnementale de notre entreprise. Aider les enfants à travers les associations Les Gladiateurs et Au Talent by Matyss est une fierté pour nos collaborateurs et administrateurs », a déclaré de son côté Nicolas Mauré, le président du Crédit Agricole Toulouse 31.

Marine Sabounji, nouvelle déléguée régionale adjointe de l’Inserm Occitanie Pyrénées

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Photo de Marine Sabounji
Marine Sabounji est la nouvelle adjointe au délégué régional de l’Inserm Occitanie Pyrénées. (©Inserm Toulouse)

Marine Sabounji a pris le 17 juin 2024 ses nouvelles fonctions de déléguée régionale adjointe de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) Occitanie Pyrénées. La jeune femme travaillera aux côtés de Sylvain Bourgoin, délégué régional, dans l’organisation et la conduite de la mise en œuvre des orientations stratégiques du site toulousain qui vient de déménager ses locaux au sein du Belvédère, situé 11 boulevard des récollets. Elle succède à Hélène Calmès qui occupait cette fonction depuis 2020.

Diplômée du Collège d’Europe de Bruges, de Sciences Po Aix et de Sciences Po Grenoble, Marine Sabounji a commencé sa carrière dans le domaine de la coopération internationale. Elle a occupé des postes dans des organisations internationales (Unesco, délégation de l’Union européenne, Fondation Anna Lindh) à Beyrouth, à Tunis et à Alexandrie. Elle a également occupé pendant deux ans le poste d’attachée de coopération scientifique à l’Institut français d’Amérique centrale au Costa Rica.

Ingénieure de recherche, Marine Sabounji a rejoint l’Institut de recherche pour le développement (IRD) à Marseille en 2012. Elle a successivement été conseillère aux affaires générales auprès du président, responsable de la mission accompagnement au changement au secrétariat général et déléguée régionale adjointe pour la région Sud-Est de 2019 à 2024. En tant que déléguée régionale adjointe, elle a particulièrement œuvré au renforcement du partenariat et des politiques de site sur le site de Marseille, de Nice et de Grenoble.

Pour mémoire, en Occitanie Pyrénées, l’Inserm administre sept unités mixtes de recherche, une équipe de recherche labellisée, un centre d’investigation clinique et deux unités mixtes de service, tous situés à Toulouse. Près de 1 200 personnes (hors doctorants et post-doctorants), dont 560 agents Inserm titulaires et contractuels, travaillent dans ces structures. Au total, elles appartiennent à une communauté scientifique des sciences de la vie et de la santé qui compte environ 4 000 personnes.

La société Sunti lance une campagne de financement citoyen pour son nouveau parc photovoltaïque situé dans le 66

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Photo d'une centrale solaire photovoltaïque
Ce nouveau parc de 16 500 m² produit environ 4 800 MWh d’électricité renouvelable chaque année. (©Pixabay)

L’entreprise montpelliéraine Sunti, spécialisée dans la construction et l’exploitation de centrales solaires, a annoncé dans un communiqué de presse daté de juillet 2024 la mise en service de son parc photovoltaïque sur la commune de Camélas, dans les Pyrénées-Orientales. Fort de 16 500 m² d’ombrières photovoltaïques, ce nouveau site produit environ 4 800 MWh d’électricité renouvelable chaque année, suffisant pour alimenter environ 1 000 foyers.

Exploité par Sunti, filiale du groupe Soper - pionnier des énergies renouvelables en France - ce parc photovoltaïque représente une avancée significative en matière de transition et de souveraineté énergétique : réduction de l’empreinte carbone, promotion de l’utilisation d’énergies renouvelables et production d’électricité, tout en améliorant les conditions d’exploitation du site.

Pour financer cette nouvelle installation, Sunti lance une campagne de financement citoyen de 450 000 €, principalement destinée aux habitants de la commune de Camélas et aux salariés du groupe Soper. À partir du 16 juillet, la collecte s’ouvrira à l’ensemble de la région Occitanie, offrant un taux d’intérêt de 6,5 % par an. Cette campagne de financement est orchestrée par Enerfip, leader européen de l’investissement citoyen dans des projets de transition énergétique. Pour en savoir plus, cliquez-ici.

Le Casino Barrière Toulouse recrute une trentaine de personnes

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Photo du Casino Barrière Toulouse
Le Casino Barrière Toulouse, troisième plus grand casino de France compte 15 tables de jeux, plus de 360 machines à sous, et divers espaces de restauration et événements. (©CasinoBarrière)

Le Casino Barrière Toulouse lance une vaste campagne de recrutement, qui vise à embaucher 12 croupiers et 12 employés polyvalents aux machines à sous. Pour mener à bien ce projet, l’établissement s’associe à la Cerus Casino Academy, l’école de croupiers numéro une en France, et à l’École Internationale Tunon. Ces institutions assureront la formation des candidats retenus, proposant un programme accessible avec ou sans diplôme préalable.

Les formations, intégralement basées sur la pratique, se dérouleront au casino, situé à Empalot, et sur le campus Tunon à Labège. Les futurs croupiers seront formés du 11 septembre au 29 novembre 2024, tandis que les employés polyvalents machines à sous suivront leur formation du 11 septembre au 22 novembre 2024. Ces sessions sont financées par l’Afdas, l’opérateur de compétence des secteurs de la cultures et rémunérées par France Travail.

À l’issue de cette période de formation, les nouveaux diplômés intégreront les équipes du casino pour des postes en soirée et nuit. Le Casino Barrière Toulouse, troisième plus grand casino de France compte 15 tables de jeux, plus de 360 machines à sous, et divers espaces de restauration et événements.

Les candidats doivent avoir au moins 18 ans, être ressortissants de l’Union Européenne, inscrits sur les listes électorales, et demandeurs d’emploi à France Travail, avec un casier judiciaire vierge. Ils doivent également « posséder une bonne aptitude au calcul mental, un sens aigu de la relation client, et une excellente dextérité et distinction des couleurs », précise la direction. Une réunion d’information se tiendra ce vendredi 12 juillet à 10 heures au Casino Barrière Toulouse. Pour s’inscrire, cliquez-ici.

Engie Home Services recrute 36 techniciens en alternance dans le Sud-Ouest

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Photo de l'équipe d'Engie Home Services
Engie Home Services recrute 36 techniciens en alternance dans le Sud-Ouest. Près de la moitié des techniciens ayant effectué leur alternance dans l’entreprise sont embauchés à l’issue de leur formation. (©Engie Home Services)

Pour la rentrée 2024, Engie Home Services, filiale de l’énergéticien spécialisée dans l’installation, l’entretien et le dépannage de systèmes de chauffage et de climatisation, recrute 36 alternants dans le Sud-Ouest, en contrat d’apprentissage et de professionnalisation sur des postes de techniciennes ou techniciens de maintenance gaz, pompes à chaleur, climatisation et énergies renouvelables.

L’entreprise propose différentes modalités de formations en alternance :

  • Le cursus classique en école ;
  • La formation d’une année directement dans l’un des huit centres de formation d’Engie Home services, dans le cadre du certificat de qualification paritaire de la métallurgie (CQPM) ;
  • La formation au sein du centre de formation des apprentis d’Engie (CFA), appelé aussi Académie de la transition énergétique et climatique.

Accessibles au niveau bac pro ou BTS, ces formations offrent aux étudiants l’opportunité de se former, sur le terrain, avec un tuteur dédié, en vue de pratiquer leur métier en toute autonomie par la suite.

En 2023, Engie Home Services a embauché en CDI et/ou CDD, près de la moitié des techniciens ayant effectué leur alternance dans l’entreprise.

Engie Home Services dispose d’un réseau de 2 700 techniciens formés et de plus de 180 sites répartis partout en France métropolitaine.

Pour postuler, les étudiants peuvent déposer leur CV directement sur le site.

Le CFA de Blagnac organise un job dating ce 10 juillet sur son campus

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Photo du CFA de Blagnac
Le CFA de Blagnac organise chaque année une dizaine de job dating. (©CFA Blagnac)

Le Centre de formation des apprentis (CFA) Commerce & Services de Blagnac organise pas moins de 10 sessions de job dating chaque année, autant d’occasions pour les entreprises et les apprenants de se rencontrer. La prochaine a lieu le 10 juillet sur le campus du CFA, 21 avenue Georges Pompidou.

Plusieurs enseignes seront présentes : Carrefour, Mr. Bricolage, Caves Nature et Vins, Mc Donald’s… Elles pourront recruter des profils diversifiés et complémentaires dans les métiers du commerce et de la vente, du service aux entreprises, de la comptabilité, ou encore, de l’informatique.

Pour rappel, les entreprises qui embauchent un apprenant en apprentissage, bénéficient d’une aide de 6 000€, pour tout contrat souscrit jusqu’au 31 décembre 2024.

Le CFA de Blagnac forme, chaque année, 1500 apprenants dans divers secteurs professionnels, en particulier dans le commerce et les services aux entreprises. Il forme également aux métiers de l’hôtellerie et de la restauration.

Frédéric Charmasson, nouveau président de la Fédération des Travaux Publics Occitanie

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Photo de Frédéric Charmasson
Frédéric Charmasson, nouveau président de la Fédération des Travaux Publics Occitanie. (©FRTP)

Depuis 2017 directeur régional Occitanie de Vinci Construction France en charge des Travaux Publics, Frédéric Charmasson vient d’être élu à la présidence de la Fédération des Travaux Publics Occitanie.

Ingénieur de formation, le sexagénaire a débuté sa carrière à Paris en bureau d’études au sein de l’entreprise Chagnaud. Après un passage chez Spie Batignolles, il a intégré en 1989, le groupe Vinci à Toulouse chez Sogea Midi-Pyrénées en tant que chargé d’affaires.

Membre actif de la Fédération régionale des Travaux Publics Midi-Pyrénées en tant qu’administrateur durant sept ans, il a présidé le Syndicat professionnel du Génie Civil de 2010 à 2019. Lors de la création de la Fédération des Travaux Publics Occitanie en 2017, il a été élu président délégué. Il a notamment assuré l’animation de la délégation Pyrénées de 2018 à 2024 aux côtés d’Olivier Giogiucci.

Désormais à la tête d’une organisation professionnelle représentant plus de 2 100 entreprises qui emploient en Occitanie 32 000 salariés, Frédéric Charmasson s’est fixé trois priorités dans le cadre de son mandat. En premier lieu, il souhaite poursuivre l’engagement du secteur et de toutes les entreprises sur les enjeux liés à la transition écologique. Il entend en second lieu renforcer l’attractivité des métiers pour répondre aux besoins de recrutement et aux aspirations des nouvelles générations. Enfin, le nouveau président veut continuer à développer l’animation syndicale au cœur des territoires.

« Le rôle d’une Fédération professionnelle n’est plus le même qu’avant, assure Frédéric Charmasson. Elle doit continuer de défendre les intérêts de ses adhérents mais, désormais, elle doit faire plus : s’inscrire dans l’intérêt général pour être crédible et prendre en compte la société et ses aspirations. Ce double engagement au service des entreprises de travaux publics et pour l’intérêt général sera le moteur de mon mandat au quotidien. »

Fungus Sapiens fait appel au public pour financer l’industrialisation de la production de son "cuir" de champignon

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Photo du Mælium
Sept ans de R&D ont été nécessaires pour mettre au point le procédé de fabrication du Mælium, alternative au cuir animal, à base mycelium de champignon. (©Fungus Sapiens)

Plus que quelques heures pour participer à la campagne de financement participatif lancée par Fungus Sapiens sur la plateforme KissKissBankBank.

La start-up haut-garonnaise fondée en 2017 par Mariana Dominguez Peñalva, biodesigner, fait appel au crowdfunding pour amorcer l’industrialisation de la fabrication d’un matériaux innovant : le « cuir » de champignon qu’elle a baptisé le Mælium. Sept ans de recherche ont été nécessaires pour mettre au point le procédé.

Préoccupée par l’impact environnemental de la mode et le bien-être animal, la jeune femme a décidé de constituer autour d’elle une équipe de chercheurs pour trouver une alternative à l’utilisation du cuir animal et du plastique. C’est dans les champignons qu’elle a trouvé la réponse à sa problématique.

« Grâce aux microorganismes (champignons, bacteries, etc) et en s’inspirant de la nature (biomimétisme), nous avons mis au point divers procédés pour bio-fabriquer des matériaux innovants et déployer des solutions socio-environnementales par la valorisation et la fermentation des co-produits (économie circulaire) », explique-t-elle.

Près de 100% moins gourmands en eau et énergie que le cuir animal, les mycomatériaux n’ont pas besoin de terre de culture, le mycelium poussant dans les fermes verticales en seulement 10 à 15 jours. Utiliser le Mælium à la place de cuir animal permettrait ainsi d’éviter le gaspillage de 80 000 à 100 000 litres d’eau et 300 kg de CO2 par m².

Première étape de la production à plus grande échelle de ces mycomatériaux, la campagne de financement participatif vise à financer l’acquisition d’un convoyeur, d’un mélangeur et d’un chariot élévateur pour la production des substrats. Par la suite, l’entreprise souhaite étoffer son équipe, recruter notamment un doctorant pour améliorer ses procédés et trouver un site pour réunir en un même lieu les différentes étapes de fabrication et notamment installer la fameuse ferme verticale.