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Lors de son conseil d’administration du 19 mars, l’Institut de Recherche Technologique (IRT) Saint Exupéry a procédé à l’élection de son nouveau président. Il s’agit de Christian Picollet. Il succède à Magali Vaissière qui occupait le poste depuis mars 2021. Pour la première, un vice-président a également été élu, en la personne de Joël Bertrand. Ce dernier secondera Christian Picollet pendant leur mandat respectif de trois ans. Cette double nomination marque une nouvelle étape dans la direction stratégique de l’Institut qui a fêté ses dix ans en 2023.

Ingénieur diplômé des Arts et Métiers (Ensam) et de Centrale-Supelec, Christian Picollet occupe actuellement le poste de corporate vice-président research and technology programs au sein du groupe Safran. Membre du comité de pilotage du Corac (Conseil de la recherche aéronautique) et du conseil d’administration du programme européen Clean Aviation, il est également membre du comité de recherche de l’École des Mines de Paris et siège au conseil d’administration de l’IRT SystemX à l’Université Paris Saclay. Il a également tenu le poste de vice-président de la commission ASD R&T au sein de l’association européenne des industriels de l’aéronautique, de l’espace, de la défense et de la sécurité.

Ingénieur diplômé de l’ENSIGC (devenue Ensiacet), maître en sciences économiques et docteur de Toulouse-INP, Joël Bertrand a commencé sa carrière en 1976 comme attaché de recherche au CNRS. En 1989, il devient directeur de recherche au Laboratoire de génie chimique, à Toulouse, puis en devient directeur en 2001. À partir de 2007, il prend également la direction du Réseau Thématique de Recherche Avancée (RTRA) « Sciences et Technologies pour l’Aéronautique et l’Espace ». En 2010, il est nommé directeur général délégué à la science du CNRS, puis trois ans plus tard, devient conseiller spécial auprès du président du CNRS, Alain Fuchs. Président du conseil scientifique de Naval Group depuis 2016, il est aussi administrateur et trésorier de la Fondation pour une culture de la sécurité industrielle, et président du conseil scientifique de la Fondation de Recherche pour l’aéronautique jusqu’en 2021.

L’IRT Saint Exupéry est un accélérateur de science, de recherche technologique et de transfert vers les industries de l’aéronautique et du spatial pour le développement de solutions innovantes sûres, robustes, certifiables et durables.

L’Urssaf Midi-Pyrénées vient de dévoiler le bilan 2023 de la lutte contre le travail dissimulé. Dans les huit départements de l’ex-région Midi-Pyrénées, l’an dernier, 310 actions ciblées ont été menées contre le travail dissimulé, soit 14 % de moins qu’en 2022. 82,11 % d’entre elles ont abouti à un redressement. Malgré cette baisse du nombre d’actions, les montants comptabilisés ont fortement augmenté par rapport à 2022 (+ 100.5 %) grâce à un ciblage plus efficace. En 10 ans, le montant an­nuel des redressements a été multiplié par 10 pour atteindre 68,4 M€ en 2023 (contre 7,6 M€ en 2013).

Les actions de prévention représentent, quant à elles, 80 % des actions globales et ciblent prioritairement les secteurs les plus touchés par la fraude, notamment le BTP (33%), le commerce (24%), l’hôtellerie/restauration-discothèques (13%) et la sécurité (11%).

En 2023, à l’échelle nationale, l’Urssaf a redressé près de 1,2 Md€ au titre de la lutte contre le travail dissimulé, contre 788,1 M€ en 2022.

En poste depuis le 1er mars 2024, Laurence Pujo est la nouvelle directrice départementale des territoires (DDT) de la Haute-Garonne. Elle succède à Yves Schenfeigel, nommé délégué interministériel à l’accompagnement des territoires en transition énergétique en octobre.

Ingénieure générale des ponts, des eaux et des forêts, diplômée d’un doctorat en économie de l’université d’Oxford, l’intéressée a entamé depuis 1995, un riche parcours au sein de l’administration publique. Au début de sa carrière, elle a assuré diverses fonctions en lien avec l’économie agricole au sein du ministère de l’agriculture. Laurence Pujo a ensuite occupé successivement les postes de directrice départementale de l’agriculture et de la forêt puis de directrice départementale adjointe des territoires (DDT) de la Haute-Garonne.

En 2013, elle est devenue directrice régionale adjointe à la direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL) Midi-Pyrénées puis Occitanie. Depuis 2020, Laurence Pujo était directrice du service central d’hydrométéorologie et d’appui à la prévention des inondations (SCHAPI), au sein de la direction générale de la prévention des risques du ministère chargé de l’écologie.

Pour mémoire, la direction départementale des territoires (DDT) 31 est une direction interministérielle placée sous l’autorité du préfet de région Occitanie, préfet de la Haute-Garonne. Pourvue de compétences techniques affirmées, la DDT met en œuvre, de manière intégrée, dans le département, les politiques publiques portées par les ministères chargés de l’agriculture, de l’écologie, du logement, de l’aménagement du territoire et de la prévention des risques. Elle est aussi le premier interlocuteur et partenaire technique de proximité des communes, des EPCI et des acteurs locaux (bailleurs, chambres consulaires, organisations professionnelles, fédérations et associations).

Le Grand Palais de Lille (Nord) accueille chaque année le Forum International de la Cybersécurité, un rendez-vous majeur pour les professionnels du secteur à l’échelle de l’Europe. Il rassemble pendant trois jours – cette année du 26 au 28 mars 2024 – tout l’écosystème de la cybersécurité et du numérique de confiance : grands groupes, PME, fonds d’investissements, start-up, structures de recherche, acteurs publics et privés, civils et militaires, acheteurs et fournisseurs. Avec une ambition : faire face aux défis opérationnels de la cybersécurité et contribuer à la construction d’un futur numérique conforme aux valeurs et aux intérêts européens.

Pour cette 16e édition, la Région Occitanie et le centre Cyber’Occ accueilleront sur un pavillon de 60 m², 11 entreprises, pures players ou éditeurs de solutions innovantes, implantées en Occitanie. Il s’agit de NetExplorer, June Factory, Custocy, Isit, Alsatis et Altij installées en Haute-Garonne ; Merox, Acelys Services Numériques et R2DEVOPS, dans l’Hérault ; Oxydian, dans le Gard ; et CyferAll, dans le Tarn.

Le forum est une occasion unique pour ces entreprises de gagner en visibilité. 20 000 visiteurs sont en effet attendus durant ces trois jours. L’événement réunit 650 exposants et partenaires issus de 82 pays.

Jusqu’au 2 avril sur l’ensemble du territoire régional, France Travail, la Région Occitanie, l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie (UMIH), la Chambre régionale de métiers et de l’artisanat d’Occitanie en partenariat avec l’enseigne Metro organisent le concours de cuisine Job Chef. Son objectif est de mettre en lumière le métier de cuisinier et de susciter des vocations tout en répondant aux difficultés de recrutement dans ce secteur. Ouvert aux débutants, ce concours permettra à 166 personnes d’accéder par la suite à une formation financée par la Région Occitanie, avec une période d’immersion au sein de restaurants, et un emploi de quatre mois à l’issue.

Les demandeurs d’emploi (pouvant n’avoir pas de qualification professionnelle ni d’expérience préalable) ont été identifiés depuis plusieurs semaines par les conseillers de France Travail et ont ensuite participé à une session d’information depuis le 29 février. Lors des épreuves du concours, les candidats retenus devront préparer des plats et seront évalués sur leurs réalisations et leurs qualités professionnelles (mixant compétences techniques et comportementales).

À l’issue des épreuves, le jury, composé de représentants de l’UMIH, de la Région, de France Travail, de Métro et de l’organisme de formation votera pour désigner les trois meilleurs candidats. Outre l’accès pour tous les participants à une formation à l’issue du concours, ces trois-là remporteront un repas pour deux offert par l’UMIH, un panier de produits régionaux Sud de France-l’Occitanie offert par la Région ainsi qu’un trophée offert par France Travail.

Tous les candidats qui se sont présentés au concours se verront proposer une formation professionnalisante et rémunérée au métier de commis de cuisine, d’une durée d’un mois et demi (un mois en centre de formation et 15 jours de stage dans une entreprise).

À l’issue de cette formation, les stagiaires qualifiés se verront proposer des offres d’emplois saisonnières pour entrer sur le marché du travail dès les mois de mai et juin. Parallèlement, la Région déploie également dans le cadre de son Plan régional de formation 788 places de formation au métier de cuisinier sur tout le territoire régional.

Insitu Work & Move, filiale du groupe toulousain Insitu, dédiée à l’accompagnement des salariés en mobilité professionnelle et géographique, et Jimenez Déménagements, filiale du transporteur Jimenez, basé à Villeneuve-Les-Bouloc en Haute-Garonne annoncent la signature d’un partenariat.

Insitu Work & Move est un des leaders du secteur sur le plan national. L’entreprise met à disposition des collaborateurs de ses clients une palette de services sur mesure tels que la recherche de logement, la gestion des procédures d’immigration et autres formalités administratives, la coordination du déménagement au départ et à l’arrivée, l’assistance sur le site de départ, la mise en service du nouveau logement, la scolarisation des enfants ou encore l’intégration culturelle.

« Notre volonté est de simplifier au maximum le processus de déménagement pour les salariés de nos entreprises clients, en leur évitant les difficultés liées à la coordination de plusieurs prestataires, détaille Pascal Fenasse, président du groupe Insitu dans un communiqué daté du 29 avril 2014. En nous associant au leader local Jimenez Déménagement, nous sommes en mesure de leur proposer un accompagnement sur-mesure et une assistance de A à Z ».
De son côté, le groupe de transports Jimenez a créé une filiale dédiée à l’activité de déménagement. L’entreprise, qui propose également un service de garde-meuble, fortement sollicité lors des mutations professionnelles, emploie 10 collaborateurs formés et réalise plus de 725 déménagements par an.

Dans son enquête Besoin en Main-d’OEuvre (BMO 2023), France Travail (ex Pôle emploi) souligne que plus de 60% des projets de recrutement sont difficiles à mener en Occitanie, et plus particulièrement dans les départements du Lot (46), des Hautes-Pyrénées (65) et du Tarn-et-Garonne (82).

Pour répondre aux besoins des entreprises locales, les agences du groupe Randstad organisent le mardi 19 mars 2024 - en partenariat avec de nombreuses entreprises et acteurs locaux de l’emploi - la troisième édition de l’opération #TrouveTonJob. Plus de 100 postes sont à pourvoir dans de nombreux secteurs d’activité : grande distribution, agroalimentaire, logistique, transport, tertiaire, BTP, industrie, industrie aéronautique, etc.

Au programme de cette journée dédiée à l’emploi, quatre job dating organisés simultanément dont deux dans le Lot : de 15 heures à 20 heures à la Brasserie La Kalot à Biars-sur-Cère et de 8 heures à 18 heures à l’agence Randstad de Figeac.

Dans les Hautes-Pyrénées, les organisateurs donnent rendez-vous aux candidats à Tarbes dans les locaux de France Travail, de 10 heures à 12heures, puis de 14 heures à 16 heures. Enfin, en Tarn-et-Garonne, le job dating est organisé à Montauban directement à l’agence Randstad, de 9 heures à 12 heures, puis de 14 heures à 17 heures.

Les contrats proposés sont des CDI, des CDD et des missions d’intérim de longue durée. Des formations pourront également être proposées aux candidats qui souhaitent compléter ou adapter leurs compétences aux attentes des entreprises. Les personnes intéressées sont invitées à se présenter le jour J avec leur CV à jour. Pour retrouver l’ensemble des informations pratiques et le formulaire d’inscription à la 3ème édition de #TrouveTonJob, cliquez-ici.

455 dossiers ont été déposés en 2023 auprès des commissions de surendettement du Tarn-et-Garonne. C’est 3,4 % de plus qu’un an auparavant. L’évolution est toutefois plus mesurée qu’à l’échelle régionale (+10 %) ou nationale (+7,5 %). En Tarn-et-Garonne, le niveau des dépôts de 2023 reste néanmoins inférieur de 18,4 % à celui de 2019 (537 dossiers déposés), année de référence pré-Covid. C’est ce qu’indiquent dans un communiqué daté du 12 mars 2024 le préfet de Tarn-et-Garonne et la Banque de France de Montauban.

On compte ainsi 212 dépôts de dossiers de surendettement pour 100 000 habitants en 2023 dans le Tarn et Garonne, contre 220 en région Occitanie et 226 en France métropolitaine. Le montant de l’endettement contracté par l’ensemble des ménages surendettés du département du Tarn-et-Garonne s’établit dès lors à 18 M€, constitué à hauteur de 40% de dettes liées à la consommation, de 37 % de dettes immobilières et de 23 % de dettes de charges courantes.

Avec 18 190 € d’endettement médian, les ménages tarn-et-garonnais supportent un niveau d’endettement plus élevé que dans le reste de l’Occitanie (16 396 €) ou dans l’ensemble de l’Hexagone (16 898 €). Prés d’un quart (24,5 %) du montant total des dettes des dossiers clos a fait l’objet d’un effacement de dettes en 2023, représentant au global 4,5 M€, soit quelque 18270 € par dossier.

Le mercredi 27 mars de 9 heures à 12 heures, Randstad et Appel Médicalorganisent une matinale emploi au sein du stade Pierre Fabre à Castres, dans le Tarn. Objectif : pourvoir 150 postes dans différents secteurs d’activité.

Dans le département, 59 % des recrutements sont jugés difficiles. C’est fort de ce constat que les deux agences d’emploi ont mis sur pied, avec le soutien du club de rugby local, le Castres Olympique, cet événement, conçu comme un rendez-vous convivial. Il vise à faciliter la rencontre entre les entreprises qui recrutent dans le département du Tarn et les personnes à la recherche d’un emploi.

De nombreux secteurs d’activité sont concernés : industrie, logistique, tertiaire, santé, etc. Les offres proposées (CDI, CDD, missions d’intérim de longue durée ou encore missions de vacation) couvrent un large spectre de qualifications : agents de production industrielle, techniciens logistique, ouvriers granitiers, ouvriers qualifiés industrie, électriciens, maçons, assistants commerciaux, infirmiers toutes spécialités, aides-soignants, accompagnants éducatif et social (AMP-AES), éducateurs, etc.

En marge des entretiens avec les recruteurs de Randstad et Appel Médical, les candidats pourront rencontrer les joueurs du Castres Olympique et tenter leur chance pour remporter deux places en loge pour un match du Castres Olympique ainsi qu’un ballon et un maillot dédicacés.

Réunis en commission permanente le 1er mars 2024, les élus régionaux ont voté, sur proposition de la présidente de Région Carole Delga, une nouvelle enveloppe de plus de 32,6 M€ (dont 29,5 M€ pour de nouveaux travaux) pour financer les chantiers dans les lycées de la région.

« La Région a engagé depuis 2021 un grand plan d’investissement pour rénover ses lycées. 800 M€ seront mobilisés jusqu’en 2027 pour les moderniser, les sécuriser ou encore améliorer leurs performances énergétiques. Il est primordial que les élèves se sentent bien dans leur établissement scolaire. Je souhaite qu’ils aient des conditions d’études optimales et qu’ils puissent s’y s’épanouir », a ainsi déclaré Carole Delga.

Parmi les opérations emblématiques :

• 14 M€ pour la création d’une extension au Lycée Clément de Pémille à Graulhet (81) ;
• 5,5 M€ pour des travaux de rénovation et d’économies d’énergie au Lycée Gabriel Faure à Foix (09) ;
• 5 M€ pour des travaux permettant d’augmenter la capacité d’accueil du Lycée Champollion à Lattes (34) ;
• 2 M€ pour des travaux de rénovation et d’économies d’énergie au Lycée agricole Fonlabour à Albi (81) ;
• 1,4 M€ pour des travaux de rénovation et d’économies d’énergie et pour la création d’une salle polyvalente au Lycée Clément Marot à Cahors (46) ;
• 800 000€ pour des travaux de sécurisation, de réhabilitation et d’économies d’énergie au Lycée Victor Hugo à Colomiers (31).

Société de services numériques et de conseil en technologie, l’agence régionale du groupe SII annonce son intention de recruter cette année 300 nouveaux collaborateurs à Toulouse (Haute-Garonne) afin d’accompagner sa croissance et étoffer ses équipes de nouveaux talents.

Ils auront pour mission d’accompagner les clients sur des activités d’ingénierie et de conseil en
technologie, principalement dans les secteurs de l’aéronautique, du spatial, de la défense, de
l’automobile, des télécoms, de la banque et de l’énergie.

« Les grandes entreprises du secteur industriel et des services choisissent SII pour apporter de la valeur ajoutée à leurs projets les plus ambitieux. Cette situation crée des opportunités pour nos ingénieurs et techniciens. Chez SII, ils sont assurés de développer leurs compétences et leurs carrières dans un environnement bienveillant, numérique et durable », indique dans un communiqué daté du 7 mars dernier Philippe Thiels, directeur d’agence SII Sud-Ouest.

Les profils suivants sont particulièrement recherchés en CDI :

• Développeurs logiciel applicatif
• Développeurs logiciel embarqué
• Infrastructure & Cloud
• DevOps
• Data & IA
• Cybersécurité
• Gestion de projets
• Métiers du Test
• Systèmes embarqués
• Ingénierie Système
• Modélisation et Simulation
• Essais et Moyens d’essai

Tous ces postes sont ouverts aux personnes en situation de handicap et la plupart sont compatibles avec le télétravail, pouvant aller jusqu’à 50 % du temps de travail. Cette campagne de recrutementn vise les profils expérimentés, mais aussi débutants, titulaires d’une formation d’ingénieur ou de diplômes universitaires (Bac+5). Pour plus d’informations et un descriptif précis de chaque poste, ses missions, les profils recherchés, cliquez-ici.

Fort d’avoir atteint le seuil des 5 000 collaborateurs en France et le milliard d’euros de chiffre d’affaires en 2023, et solidement implanté dans le paysage numérique français et international, SII annonce par ailleurs recruter 1 800 nouveaux collaborateurs sur l’ensemble du territoire français.

Le gestionnaire du réseau de distribution de l’électricité a lancé le 6 mars une nouvelle campagne de recrutements pour faire face à ses importants besoin de main-d’œuvre. En Occitanie, Enedis prévoit en effet de recruter dès cette année 300 nouveaux collaborateurs et près d’un millier d’ici à 2027.
L’entreprise, filiale à 100 % d’EDF, recherche de multiples profils, du CAP au Bac+5, des jeunes diplômés comme des candidats expérimentés dans les métiers techniques, de la gestion de projet et du numérique.
Ces embauches se concentrent en grande partie sur cinq domaines d’activité :

• Interventions sur le réseau électrique (électrotechniciens, électriciens d’intervention et techniciens de maintenance, techniciens électricité…) ;
• Études et réalisations d’ouvrage sur le réseau électrique (chargés d’affaires, chargés de projets, ingénieurs génie électrique…) ;
• Relations clients (chargés de relations clients, relations clients dépannage…) ;
• Conduite et exploitation du réseau électrique (superviseurs exploitation dépannage) ;
• Technologies de l’information, numérique et télécom (IT) (chefs de projets SI, ingénieurs Big Data, analystes cyber).

Avec le soutien de l’Éducation nationale, Enedis et ses partenaires de la filière ont lancé en 2023 les Écoles des réseaux de la transition énergétique pour préparer les jeunes aux métiers du réseau électrique. En Occitanie, cinq lycées accueillent déjà des classes « réseaux électriques », avec un objectif de 13 lycées pour la rentrée 2024-2025.

Pour rencontrer ses futures recrues, l’entreprise organise un e-Forum de l’alternance le 27 mars de 10 heures à 18 heures. 50 conseillers RH et salariés d’Enedis seront mobilisés pour répondre aux questions des candidats. Pour s’inscrire, cliquez ici.

L’entreprise participera également aux différents salons Travail-Avenir-Formation (TAF), organisés par la Région, pour présenter ses métiers et ses offres d’emplois et d’alternance. Les prochains auront lieu les 13 et 14 mars à Toulouse au MEETT. A Montauban, c’est le 20 mars qu’un salon TAF est programmé à la salle Eurythmie. On peut trouver la liste complète de ces rendez-vous qui se déroulent tout au long du mois de mars, en cliquant ici.

Il est l’un des plus grands parcs d’attractions de la région Occitanie et son ouverture approche à grands pas. Sorti de terre en 2005 au cœur de la forêt du Burgaud, à 40 km de Toulouse (Haute-Garonne), AnimaParc lance une campagne de recrutement de plus de 70 personnes pour sa saison 2024 qui débutera à la fin du mois de mars, le 30 pour être précis.

Dans un communiqué daté du 4 mars dernier, la direction indique qu’aucune expérience n’est requise. Les contrats saisonniers peuvent aller de deux à six mois et plusieurs postes sont à pourvoir. Et ils sont variés : opérateurs d’attractions, agents d’accueil, cuisiniers ou encore serveurs. Seules qualités demandées : être une personne « sérieuse, rigoureuse, souriante et accueillante ».

Pour plus d’informations et un descriptif précis de chaque poste, ses missions, les profils recherchés, cliquez-ici. Pour postuler : CV, lettre de motivation et le poste souhaité par email à : emplois@animaparc.com

À noter qu’en 2022, après deux années plombées par la crise du Covid, le parc de loisirs a battu son record de fréquentation avec près de 165 000 visiteurs accueillis. Une affluence qui a permis à AnimaParc de franchir le cap symbolique des 2 millions de visiteurs. Une attractivité retrouvée qui lui permet de conforter sa place de destination touristique et culturelle majeure sur le territoire. Et aussi d’acteur économique, créateur d’emploi. En plus du recrutement de ces 70 saisonniers en CDD pour la période de mars à novembre, le parc emploie une dizaine de salariés à temps plein.

Fédèrant un réseau de 250 adhérents (entreprises, organismes de recherche et de formation, associations) principalement localisés en région Occitanie et Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur, le pôle de compétitivité Aqua-Valley a pour vocation de contribuer, notamment via la promotion de l’innovation, à l’essor des TPE et PME-PMI des métiers et du cycle de l’eau. Il vient de se donner un nouveau président en la personne d’Olivier Sarlat.

Élu à l’occasion d’un conseil d’administration en date du 1er mars, ce dernier est le directeur de la région Sud des activités eau de Veolia. Ingénieur en hydraulique et mécanique des fluides de l’Enseeiht (Toulouse) et titulaire d’un MBA intra entreprise d’HEC, il a, durant son parcours professionnel, occupé différentes responsabilités dans le secteur de l’eau. Il a notamment développé une expérience précieuse de la conception à la construction et la gestion d’infrastructures et d’unités de traitement de l’eau.

Alors que la préservation de la ressource en eau devient un enjeu majeur, notamment en Occitanie et Paca, deux régions exposées à l’accélération d’événements climatiques extrêmes, Olivier Sarlat entend faire du pôle Aqua-Valley l’acteur incontournable des solutions d’innovation pour répondre à cette urgence, tant en France qu’à l’international.

Basé à Montpellier, le Pôle accompagne ses adhérents sur les sujets de développement de marchés, d’innovation, de consolidation des compétences, de partenariats et d’internationalisation. Il intervient en partenariat avec le cluster Éa éco-entreprises. Ce dernier fédère 162 écoentreprises intervenant sur les sujets de l’eau et des transitions écologique et énergétique en région Paca.

Née en 2017 sous le nom d’Assystem Technologies, l’entreprise d’ingénierie et de conseil Expleo prévoit d’embaucher en 2024 près de 2 000 nouveaux talents, apprentis, stagiaires et jeunes docteurs sur l’ensemble du territoire français, dont 560 en région Occitanie. Et plus précisément pour travailler au sein de son centre d’excellence mondial aéronautique installée à Colomiers, près de Toulouse.

Fort de ses 19 000 salariés dans le monde et d’un chiffre d’affaires de 1,4 Mds€ en 2023 (+8,5% par rapport à 2022), le groupe ambitionne d’accompagner les grandes entreprises issues de l’automobile, de l’aéronautique, du ferroviaire, des services financiers, des sciences de la vie désireuses d’explorer de nouveaux leviers de croissance grâce à un renforcement de leurs compétences notamment en digital et innovation.

Ainsi, les futurs collaborateurs d’Expleo sont appelés à intervenir sur des projets qui visent à relever les défis les plus complexes, allant du véhicule autonome à l’usine du futur en passant par l’avion à faible empreinte environnementale ou le NewSpace, ou encore la défense ou les sciences de la vie.

Expleo recherche aussi bien des profils débutants (plus de 30 % des postes à pourvoir) ou avec une première expérience (50 % des postes à pourvoir entre 2 et 5 ans), que des profils expérimentés (15 % de profils de 5 à 10 ans d’expérience) ou très expérimentés. Pour postuler, cliquez-ici. La société recherche principalement des ingénieurs et techniciens dans les domaines suivants  :

• Qualité de produit et des process, Essais, Maintenance, RAMS  ;
• Ingénierie mécanique (conception, calcul de structure…)  ;
• IT & Digital (logiciel, data & cybersécurité)  ;
• Développement systèmes embarqués  ;
• Génie des procédés industriels  ;
• Gestion de la chaîne logistique  ;
• Consulting en transformation et performance durable.

Expleo offre par ailleurs 100 postes PhD (jeunes docteurs) sur tout le territoire pour collaborer à des projets uniques dans les secteurs du spatial, de l’aéronautique, des transports, des énergies, des datas et de l’intelligence artificielle.

« Nous sommes heureux de poursuivre en 2024 notre dynamique de recrutements afin de continuer à développer nos compétences pour apporter toujours plus d’expertise à nos clients. Nous recherchons des profils variés avec des expériences sectorielles fortes pour construire des offres et des solutions de pointe adaptées aux environnements de marché. Expleo offre pour tous ses collaborateurs de belles perspectives de carrière dans un environnement de travail flexible et bienveillant. Notre engagement en tant qu’employeur est également de former nos équipes aux métiers de demain afin d’accompagner au mieux la transformation et le développement de nos clients », indique Damien Lasou, directeur général d’Expleo en France, dans un communiqué daté du 27 février 2024.