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Réunis en commission permanente le 1er mars 2024, les élus régionaux ont voté, sur proposition de la présidente de Région Carole Delga, une nouvelle enveloppe de plus de 32,6 M€ (dont 29,5 M€ pour de nouveaux travaux) pour financer les chantiers dans les lycées de la région.

« La Région a engagé depuis 2021 un grand plan d’investissement pour rénover ses lycées. 800 M€ seront mobilisés jusqu’en 2027 pour les moderniser, les sécuriser ou encore améliorer leurs performances énergétiques. Il est primordial que les élèves se sentent bien dans leur établissement scolaire. Je souhaite qu’ils aient des conditions d’études optimales et qu’ils puissent s’y s’épanouir », a ainsi déclaré Carole Delga.

Parmi les opérations emblématiques :

• 14 M€ pour la création d’une extension au Lycée Clément de Pémille à Graulhet (81) ;
• 5,5 M€ pour des travaux de rénovation et d’économies d’énergie au Lycée Gabriel Faure à Foix (09) ;
• 5 M€ pour des travaux permettant d’augmenter la capacité d’accueil du Lycée Champollion à Lattes (34) ;
• 2 M€ pour des travaux de rénovation et d’économies d’énergie au Lycée agricole Fonlabour à Albi (81) ;
• 1,4 M€ pour des travaux de rénovation et d’économies d’énergie et pour la création d’une salle polyvalente au Lycée Clément Marot à Cahors (46) ;
• 800 000€ pour des travaux de sécurisation, de réhabilitation et d’économies d’énergie au Lycée Victor Hugo à Colomiers (31).

Société de services numériques et de conseil en technologie, l’agence régionale du groupe SII annonce son intention de recruter cette année 300 nouveaux collaborateurs à Toulouse (Haute-Garonne) afin d’accompagner sa croissance et étoffer ses équipes de nouveaux talents.

Ils auront pour mission d’accompagner les clients sur des activités d’ingénierie et de conseil en
technologie, principalement dans les secteurs de l’aéronautique, du spatial, de la défense, de
l’automobile, des télécoms, de la banque et de l’énergie.

« Les grandes entreprises du secteur industriel et des services choisissent SII pour apporter de la valeur ajoutée à leurs projets les plus ambitieux. Cette situation crée des opportunités pour nos ingénieurs et techniciens. Chez SII, ils sont assurés de développer leurs compétences et leurs carrières dans un environnement bienveillant, numérique et durable », indique dans un communiqué daté du 7 mars dernier Philippe Thiels, directeur d’agence SII Sud-Ouest.

Les profils suivants sont particulièrement recherchés en CDI :

• Développeurs logiciel applicatif
• Développeurs logiciel embarqué
• Infrastructure & Cloud
• DevOps
• Data & IA
• Cybersécurité
• Gestion de projets
• Métiers du Test
• Systèmes embarqués
• Ingénierie Système
• Modélisation et Simulation
• Essais et Moyens d’essai

Tous ces postes sont ouverts aux personnes en situation de handicap et la plupart sont compatibles avec le télétravail, pouvant aller jusqu’à 50 % du temps de travail. Cette campagne de recrutementn vise les profils expérimentés, mais aussi débutants, titulaires d’une formation d’ingénieur ou de diplômes universitaires (Bac+5). Pour plus d’informations et un descriptif précis de chaque poste, ses missions, les profils recherchés, cliquez-ici.

Fort d’avoir atteint le seuil des 5 000 collaborateurs en France et le milliard d’euros de chiffre d’affaires en 2023, et solidement implanté dans le paysage numérique français et international, SII annonce par ailleurs recruter 1 800 nouveaux collaborateurs sur l’ensemble du territoire français.

Le gestionnaire du réseau de distribution de l’électricité a lancé le 6 mars une nouvelle campagne de recrutements pour faire face à ses importants besoin de main-d’œuvre. En Occitanie, Enedis prévoit en effet de recruter dès cette année 300 nouveaux collaborateurs et près d’un millier d’ici à 2027.
L’entreprise, filiale à 100 % d’EDF, recherche de multiples profils, du CAP au Bac+5, des jeunes diplômés comme des candidats expérimentés dans les métiers techniques, de la gestion de projet et du numérique.
Ces embauches se concentrent en grande partie sur cinq domaines d’activité :

• Interventions sur le réseau électrique (électrotechniciens, électriciens d’intervention et techniciens de maintenance, techniciens électricité…) ;
• Études et réalisations d’ouvrage sur le réseau électrique (chargés d’affaires, chargés de projets, ingénieurs génie électrique…) ;
• Relations clients (chargés de relations clients, relations clients dépannage…) ;
• Conduite et exploitation du réseau électrique (superviseurs exploitation dépannage) ;
• Technologies de l’information, numérique et télécom (IT) (chefs de projets SI, ingénieurs Big Data, analystes cyber).

Avec le soutien de l’Éducation nationale, Enedis et ses partenaires de la filière ont lancé en 2023 les Écoles des réseaux de la transition énergétique pour préparer les jeunes aux métiers du réseau électrique. En Occitanie, cinq lycées accueillent déjà des classes « réseaux électriques », avec un objectif de 13 lycées pour la rentrée 2024-2025.

Pour rencontrer ses futures recrues, l’entreprise organise un e-Forum de l’alternance le 27 mars de 10 heures à 18 heures. 50 conseillers RH et salariés d’Enedis seront mobilisés pour répondre aux questions des candidats. Pour s’inscrire, cliquez ici.

L’entreprise participera également aux différents salons Travail-Avenir-Formation (TAF), organisés par la Région, pour présenter ses métiers et ses offres d’emplois et d’alternance. Les prochains auront lieu les 13 et 14 mars à Toulouse au MEETT. A Montauban, c’est le 20 mars qu’un salon TAF est programmé à la salle Eurythmie. On peut trouver la liste complète de ces rendez-vous qui se déroulent tout au long du mois de mars, en cliquant ici.

Il est l’un des plus grands parcs d’attractions de la région Occitanie et son ouverture approche à grands pas. Sorti de terre en 2005 au cœur de la forêt du Burgaud, à 40 km de Toulouse (Haute-Garonne), AnimaParc lance une campagne de recrutement de plus de 70 personnes pour sa saison 2024 qui débutera à la fin du mois de mars, le 30 pour être précis.

Dans un communiqué daté du 4 mars dernier, la direction indique qu’aucune expérience n’est requise. Les contrats saisonniers peuvent aller de deux à six mois et plusieurs postes sont à pourvoir. Et ils sont variés : opérateurs d’attractions, agents d’accueil, cuisiniers ou encore serveurs. Seules qualités demandées : être une personne « sérieuse, rigoureuse, souriante et accueillante ».

Pour plus d’informations et un descriptif précis de chaque poste, ses missions, les profils recherchés, cliquez-ici. Pour postuler : CV, lettre de motivation et le poste souhaité par email à : emplois@animaparc.com

À noter qu’en 2022, après deux années plombées par la crise du Covid, le parc de loisirs a battu son record de fréquentation avec près de 165 000 visiteurs accueillis. Une affluence qui a permis à AnimaParc de franchir le cap symbolique des 2 millions de visiteurs. Une attractivité retrouvée qui lui permet de conforter sa place de destination touristique et culturelle majeure sur le territoire. Et aussi d’acteur économique, créateur d’emploi. En plus du recrutement de ces 70 saisonniers en CDD pour la période de mars à novembre, le parc emploie une dizaine de salariés à temps plein.

Fédèrant un réseau de 250 adhérents (entreprises, organismes de recherche et de formation, associations) principalement localisés en région Occitanie et Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur, le pôle de compétitivité Aqua-Valley a pour vocation de contribuer, notamment via la promotion de l’innovation, à l’essor des TPE et PME-PMI des métiers et du cycle de l’eau. Il vient de se donner un nouveau président en la personne d’Olivier Sarlat.

Élu à l’occasion d’un conseil d’administration en date du 1er mars, ce dernier est le directeur de la région Sud des activités eau de Veolia. Ingénieur en hydraulique et mécanique des fluides de l’Enseeiht (Toulouse) et titulaire d’un MBA intra entreprise d’HEC, il a, durant son parcours professionnel, occupé différentes responsabilités dans le secteur de l’eau. Il a notamment développé une expérience précieuse de la conception à la construction et la gestion d’infrastructures et d’unités de traitement de l’eau.

Alors que la préservation de la ressource en eau devient un enjeu majeur, notamment en Occitanie et Paca, deux régions exposées à l’accélération d’événements climatiques extrêmes, Olivier Sarlat entend faire du pôle Aqua-Valley l’acteur incontournable des solutions d’innovation pour répondre à cette urgence, tant en France qu’à l’international.

Basé à Montpellier, le Pôle accompagne ses adhérents sur les sujets de développement de marchés, d’innovation, de consolidation des compétences, de partenariats et d’internationalisation. Il intervient en partenariat avec le cluster Éa éco-entreprises. Ce dernier fédère 162 écoentreprises intervenant sur les sujets de l’eau et des transitions écologique et énergétique en région Paca.

Née en 2017 sous le nom d’Assystem Technologies, l’entreprise d’ingénierie et de conseil Expleo prévoit d’embaucher en 2024 près de 2 000 nouveaux talents, apprentis, stagiaires et jeunes docteurs sur l’ensemble du territoire français, dont 560 en région Occitanie. Et plus précisément pour travailler au sein de son centre d’excellence mondial aéronautique installée à Colomiers, près de Toulouse.

Fort de ses 19 000 salariés dans le monde et d’un chiffre d’affaires de 1,4 Mds€ en 2023 (+8,5% par rapport à 2022), le groupe ambitionne d’accompagner les grandes entreprises issues de l’automobile, de l’aéronautique, du ferroviaire, des services financiers, des sciences de la vie désireuses d’explorer de nouveaux leviers de croissance grâce à un renforcement de leurs compétences notamment en digital et innovation.

Ainsi, les futurs collaborateurs d’Expleo sont appelés à intervenir sur des projets qui visent à relever les défis les plus complexes, allant du véhicule autonome à l’usine du futur en passant par l’avion à faible empreinte environnementale ou le NewSpace, ou encore la défense ou les sciences de la vie.

Expleo recherche aussi bien des profils débutants (plus de 30 % des postes à pourvoir) ou avec une première expérience (50 % des postes à pourvoir entre 2 et 5 ans), que des profils expérimentés (15 % de profils de 5 à 10 ans d’expérience) ou très expérimentés. Pour postuler, cliquez-ici. La société recherche principalement des ingénieurs et techniciens dans les domaines suivants  :

• Qualité de produit et des process, Essais, Maintenance, RAMS  ;
• Ingénierie mécanique (conception, calcul de structure…)  ;
• IT & Digital (logiciel, data & cybersécurité)  ;
• Développement systèmes embarqués  ;
• Génie des procédés industriels  ;
• Gestion de la chaîne logistique  ;
• Consulting en transformation et performance durable.

Expleo offre par ailleurs 100 postes PhD (jeunes docteurs) sur tout le territoire pour collaborer à des projets uniques dans les secteurs du spatial, de l’aéronautique, des transports, des énergies, des datas et de l’intelligence artificielle.

« Nous sommes heureux de poursuivre en 2024 notre dynamique de recrutements afin de continuer à développer nos compétences pour apporter toujours plus d’expertise à nos clients. Nous recherchons des profils variés avec des expériences sectorielles fortes pour construire des offres et des solutions de pointe adaptées aux environnements de marché. Expleo offre pour tous ses collaborateurs de belles perspectives de carrière dans un environnement de travail flexible et bienveillant. Notre engagement en tant qu’employeur est également de former nos équipes aux métiers de demain afin d’accompagner au mieux la transformation et le développement de nos clients », indique Damien Lasou, directeur général d’Expleo en France, dans un communiqué daté du 27 février 2024.

Présent dans plus de 30 pays, fort de ses 140 implantations dans le monde, Segula Technologies est un groupe d’ingénierie mondial. Fort aujourd’hui de plus de 15 000 collaborateurs, l’entreprise intervient dans les grands secteurs industriels : automobile, aérospatial, énergie, ferroviaire, naval...

Dans le cadre de ses prévisions de recrutements pour 2024, le groupe français a annoncé dans un communiqué daté du 27 février son intention de recruter une centaine de personnes en Occitanie. Actuellement environ 160 ingénieurs et techniciens qualifiés travaillent sur le site de Segula Technologies de Colomiers, ainsi que chez ses clients pour différents programmes aéronautiques et projets industriels.

Il y accompagne les constructeurs et équipementiers de l’aérospatial, principalement sur des prestations d’ingénierie (conception et calcul mécanique, définition et routage électrique, systèmes de propulsion, définition de sous-ensembles…), d’étude et de réalisation d’outillages et de services à la production.

Pour assurer sa croissance en Occitanie, l’entreprise recherche des profils variés (H/F) :

• ingénieurs calcul,
• chefs de projets,
• techniciens et ingénieurs en mécanique et en systèmes électriques,
• techniciens et ingénieurs en préparation technique,
• data scientists et des spécialistes de l’IoT et des systèmes embarqués.

Elle cherche également des profils travaillant directement sur les sites de ses clients tels que des compagnons qualifiés et des techniciens aéronautiques (intégrateurs cabine, mécaniciens, ajusteurs, supports techniques, inspecteurs qualité, team leaders…).

Dans cette perspective, Segula Technologies organise une journée de job dating le mardi 19 mars de 11 heures à 18 heures à proximité de Toulouse : au bar restaurant Le 20e Avenue, situé 20 avenue Latécoère, à Cornebarrieu.

À noter qu’à l’échelle de la France, le groupe prévoit de recruter cette année 2 200 personnes, dont 80% en CDI.

Pionnier de l’aviation décarbonée, le constructeur aéronautique français Aura Aero, basé à Toulouse, vient de nommer Drew McEwen au poste de directeur commercial.

Professionnel aguerri du secteur de l’aviation, l’Américain compte plus de 35 ans d’expérience auprès de deux constructeurs historiques de l’aviation générale, Piper Aircraft et Beechcraft.

Titulaire d’un bachelor en communication de l’Université d’Arizona, Drew McEwen est diplômé de l’école de commerce Darden à l’Université de Virginie. Il a passé 27 ans chez Beechcraft, où il a occupé différentes postes de management dans des domaines clés comme le support client et produit, les ventes, le management de charters, la multipropriété d’avions et les ventes sur le marché secondaire.

Il a ensuite rejoint Piper Aircraft en 2010 comme directeur des ventes Amériques avant de devenir, l’année suivante, responsable ventes internationales et business development. Dès 2013 et pendant trois ans, il a occupé les fonctions de vice-président ventes, marketing et support client. Depuis 2017, il occupait le poste de vice-président ventes à l’international de Piper.

Drew McEwen sera à la tête de l’équipe commerciale d’Aura Aero à Toulouse et d’une autre équipe en cours de constitution aux États-Unis. Il sera chargé de consolider les ventes, le marketing et le support client du constructeur toulousain. « Il travaillera également en étroite collaboration avec les partenaires et fournisseurs de l’avionneur dans le monde entier, dans l’objectif commun de décarboner l’aviation », précise dans un communiqué Aura Aero.

Jérémy Caussade, son président et co-fondateur, se réjouit de ce recrutement : « Nous sommes certains que sa grande expérience et sa connaissance approfondie du marché, ainsi que son réseau impressionnant, seront des atouts majeurs pour le développement d’Aura Aero et la commercialisation de nos deux familles d’avions, INTEGRAL et ERA. »

Créée en 2018, Aura Aero est basée à Francazal, près de Toulouse, et emploie 250 personnes. Dans le cadre du plan France 2030, l’entreprise va bénéficier d’une enveloppe de 13,2 M€ pour accélérer le développement son avion régional hybride électrique, l’ERA.

L’Institut catholique de Toulouse (ICT) ouvrira, à la rentrée 2024, un nouveau campus dans la capitale girondine. En septembre prochain, l’ICT accueillera ainsi ses deux premières promotions d’étudiants au cœur de l’éco-campus François d’Assise, allée Marianne Loir à Bordeaux, dans le nouveau quartier Armagnac. Deux licences d’État sont proposées : la première en psychologie, la seconde en sciences de l’éducation, qui peuvent être combinées dans un double parcours de formation.

L’ICT est un établissement d’enseignement supérieur privé d’intérêt général (EESPIG). Il est composé de cinq facultés (droit, lettres et sciences humaines, philosophie, droit canonique et théologie), neuf écoles et instituts et deux résidences universitaires en plein cœur de Toulouse et Bordeaux. Le pôle universitaire accueille chaque année 3 700 étudiants et stagiaires autour de 16 formations reconnues par l’État : 11 licences et cinq masters.

Ce campus girondin de 10 000 m2 est le premier campus décentralisé de l’ICT. Une centaine d’étudiants y sont attendus à la rentrée prochaine. L’Institut prévoit d’y accueillir 900 élèves à l’horizon 2030 autour de plusieurs formations, de la licence au master.

Les entreprises d’Occitanie ont jusqu’au 17 mars pour soumettre leur candidature à la grande exposition du Fabriqué en France à l’Élysée. Depuis trois éditions, l’événement met à l’honneur les entreprises, les artisans, les producteurs et les industriels qui s’engagent dans la fabrication française.

En 2023, plus de 9000 visiteurs avaient pu découvrir au palais de l’Élysée plus de 120 produits français, issus de tous les territoires de l’Hexagone et d’Outre-mer, sélectionnés parmi plus de 2000 produits candidats.

Pour cette nouvelle édition, une pré-sélection sera réalisée au niveau des préfectures qui s’appuieront sur l’avis des Conseils régionaux, départementaux, des réseaux consulaires et des relais économiques locaux. A l’issue, un comité de sélection composé de personnalités qualifiées sera réuni autour des ministres compétents en mai prochain pour établir la liste des produits qui seront présentés aux Français lors de cette exposition, qui se tiendra à l’Élysée à la fin du mois de juin 2024.

Les produits présentés devront s’inscrire dans une démarche de production respectueuse de l’environnement, socialement innovante, utile au maintien des savoir-faire régionaux et au développement économique local.

Plusieurs critères seront pris en compte pour l’évaluation des dossiers de candidatures, notamment :

• La part de la valeur ajoutée du produit réalisée en France (%) ;
• Les labels détenus : labels d’entreprise, qualité, de savoir-faire (Entreprises du Patrimoine Vivant, par exemple), d’origine (Origine France Garantie, par exemple), etc. ;
• L’engagement de l’entreprise dans une démarche environnementale et sociale (promotion d’un savoir-faire local, recours à un établissement ou service d’aide par le travail, etc.) ;
• La participation à un dispositif de type France Relance, France 2030, Je Choisis la French Tech, etc. ;
• L’engagement dans une démarche de relocalisation de l’activité en France et/ou d’export.

Toute entreprise produisant en France est cependant encouragée à postuler, y compris celles ayant déjà tenté leur chance les années précédentes. L’attachement au savoir-faire et à la fabrication française demeurent en effet les critères les plus déterminants. Elles peuvent soumettre leur candidature via le site de l’Élysée, le portail de la Direction générale des Entreprises ou directement en cliquant ici.

Pour répondre aux besoins de main d’oeuvre dans les secteurs de l’industrie et du nucléaire, l’agence Manpower de Montauban (Tarn-et-Garonne) organise avec France Travail local et la Mission Locale, une matinée de recrutement le jeudi 29 février, de 9 heures à 13 heures.

Objectif ? Trouver plus de 80 candidats pour pourvoir des postes en CDI intérimaire, CDD/CDI et CTT de menuisier industriel, émailleur, usineur, électricien, électromécanicien, technicien de maintenance, mécanicien-monteur aéronautique… Ce sont des postes à temps complet avec horaires postés : matin, après-midi ou nuit.

Les candidats sont invités à se rendre directement et sans rendez-vous dans les locaux de l’agence situés 1270 Avenue de Toulouse. Seule obligation, venir avec un CV à jour, afin d’être conseillés et orientés au mieux par les équipes de recruteurs experts dans leur projet professionnel. Tout profil sera étudié, même débutant. Originalité de ce job dating ? Les candidats sont invités à (re)découvrir le crossfit grâce au partenariat organisé avec le centre sportif local.

Acteur majeur du marché de l’emploi depuis plus de 65 ans, Manpower France regroupe aujourd’hui plus de 3 500 collaborateurs qui accompagnent chaque jour près de 80 000 salariés intérimaires, au sein des 40 000 entreprises clientes en France. Chaque année, près de 22 500 recrutements directs en CDI et CDD sont générés par cette activité.

Quels sont les obstacles que rencontrent les femmes cheffes d’entreprises lors de la création, de la reprise ou pendant le développement de leur activité, telles sont les questions auxquelles Réseau Entreprendre Occitanie Garonne souhaite obtenir des réponses à travers une étude qu’il vient de lancer.

L’association de chefs d’entreprise espère en effet mieux appréhender et identifier les difficultés rencontrées par les femmes. En d’autres termes, les évolutions sociales et sociétales ont-elles permis aux femmes entrepreneures de renforcer leur crédibilité ou bien les choses sont-elles toujours aussi compliquées ? C’est ce que cette nouvelle étude largement ouverte permettra de mesurer.

L’objectif poursuivi, à travers ces travaux, est d’améliorer l’accompagnement qui leur est proposé au sein de l’association, et de recruter de nouvelles candidates. « Cette étude est ouvertes à toutes précise Cécile Thomas, directrice de Réseau Entreprendre Occitanie Garonne. Nous partagerons largement les résultats. Au sein de réseau, nous les utiliserons pour développer un parcours d’accompagnement spécifique dans le cadre du programme national Wom’Energy, porté notamment par deux membres cheffes d’entreprises, anciennes lauréates de l’association, Laurence Roland cofondatrice de Truffus, propriétaire de la marque Truffes Henras, et Maud Deltell, présidente de la Maison Patignac ».

Toutes les informations données sont confidentielles et les réponses restent anonymes. Pour participer il suffit de cliquer sur ce lien.

La vocation de Réseau Entreprendre, association créée en 1986 à l’initiative de l’industriel André Mulliez, est de contribuer à la réussite de nouveaux entrepreneurs à potentiel en leur proposant un accompagnement humain et financier (pour le programme Start), gratuit et dans la durée, réalisé par des chefs d’entreprise passionnés, expérimentés et en activité. Fondé en 2001, Réseau Entreprendre Occitanie Garonne compte 206 adhérents, qui sont tous des chefs d’entreprises bénévoles. Ils représentent près de 15 000 emplois. Les chiffres clé de l’association :

• 452 entrepreneurs accompagnés depuis 2001 ;
• Plus de 90% des entreprises accompagnées sont toujours en activité après trois années d’existence ;
• 6,7 M€ de prêts d’honneur accordés ;
• 4 000 emplois créés ou maintenus depuis 2001.

19°C, l’école du génie climatique fondée par l’enseigne de magasins CEDEO, négociant et distributeur dédié aux plombiers-chauffagistes, ouvre une huitième classe à Toulouse. Son objectif est d’accompagner les professionnels confrontés au quotidien à la pénurie de main-d’œuvre.

Ce programme pédagogique permet en effet de former de nouvelles recrues au génie climatique et à des artisans chefs d’entreprise, de recruter des apprentis motivés. Après Evreux (27), Roubaix (59), Alfortville (94), Lyon (69), Rennes (35), Bordeaux (33), Ocquerre (77), c’est au CFA du BTP d’Occitanie, 3 Impasse George Dazet, à Toulouse qu’une nouvelle classe vient d’ouvrir.

« Cette formation qualifiante vise à créer un véritable écosystème de mise en relation entre les entreprises clientes de CEDEO, les apprentis et les centres de formation partenaires. Nous souhaitons montrer aux jeunes que les métiers du génie climatique sont passionnants et ont un enjeu sociétal et environnemental important », explique Ursula Lafleurière, directrice du projet.
L’enseigne prévoit ainsi de former 180 apprentis en 2024 et près d’un millier d’ici fin 2026.

Au cœur de la transition énergétique, les métiers du génie climatique offrent de multiples débouchés. La première année de formation permet aux apprentis d’obtenir le titre professionnel d’«  installateur thermique et sanitaire », complété par un module spécifique de 70 h autour de la rénovation énergétique (PAC, biomasse, solaire, chauffe-eau thermodynamique) devenue, avec la lutte contre le réchauffement climatique, la raison d’être du métier de chauffagiste. La seconde année prépare au titre de « technicien d’installation en équipements de confort climatique ».
CEDEO est une marque de Saint-Gobain Distribution Bâtiment France.

Le constructeur d’avions régionaux basé à Toulouse a enregistré 40 nouvelles commandes l’an dernier soit une progression de 53 % sur un an. ATR a accueilli 11 nouveaux clients en 2023, pour des avions neufs et d’occasion, et enregistré plus de 100 transactions sur le marché de l’occasion, attestant d’une forte demande pour ses turbopropulseurs.

Si l’Asie reste le marché le plus dynamique d’ATR, le constructeur a également enregistré des commandes de clients d’Amérique latine et d’Europe. Au total, 160 nouvelles liaisons ont été ouvertes par des ATR l’an dernier, contre 150 en 2022.

Dans le même temps, l’avionneur, co-entreprise d’Airbus et de Leonardo, a livré 36 avions en 2023, soit une augmentation de 44 % par rapport à 2022. Une belle performance sachant que l’année a encore été marquée par des perturbations persistantes de la chaîne d’approvisionnement, avec des pénuries de matières premières et de composants ralentissant la montée en cadence des chaines d’assemblage.

ATR a réalisé l’an dernier un chiffre d’affaires de près d’1,2 Md$, soutenu par une année record pour ses activités de services, qui ont enregistré un chiffre d’affaires supérieur à 400 M$. Pour Nathalie Tarnaud Laude, PDG d’ATR, ces résultats « soulignent la valeur et la pertinence de nos produits et services, ainsi que notre capacité à nous adapter aux évolutions du marché. Et d’ajouter :

Nos turbopropulseurs constituent l’épine dorsale des flottes de nombreuses compagnies aériennes régionales, salués pour leur efficacité énergétique, leurs faibles émissions, leur rentabilité et leur polyvalence. »

Pour 2024 et les années suivantes, l’entreprise prévoit une demande croissante pour répondre aux besoins de flottes en expansion, principalement en Inde, en Indonésie, aux Philippines et au Brésil. Grâce à ses appareils qui consomment 45 % de carburant de moins et émettent 45 % de CO2 de moins que les jets régionaux, le durcissement des normes environnementales grandissantes devrait offrir à l’avionneur des belles opportunités sur le marché du renouvellement, notamment en Europe, au Japon, au Canada et aux États-Unis.

Airbus a présenté le 15 février 2024 à Amsterdam, aux Pays Bas, ses résultats financiers pour 2023. Le géant aéronautique boucle l’année sur un chiffre d’affaires de 65,4 Mds€ (dont 12 Mds€ pour l’activité de défense), en progression de 11 % sur un an.

Le résultat net du groupe recule dans la même proportion (-11%) entre 2022 et 2023 pour s’élever à près de 3,8 Mds. Le groupe, qui a enregistré l’an dernier 2 094 commandes nettes, voit son carnet de commandes grimper désormais à 8598 avons commerciaux à fin décembre 2023 (soit en valeur près de 554 Mds€). Cela représente plus de 10 ans d’activité pour l’avionneur qui a livré au cours des 12 derniers mois 735 appareils contre 661 un an plus tôt.

« Un résultat remarquable compte tenu de la complexité du contexte opérationnel », selon Guillaume Faury, président exécutif d’Airbus, qui prévoit de continuer à investir dans son appareil industriel mondial tout en poursuivant sa décarbonation.

Les autres divisions d’Airbus profitent elles aussi de la dynamique retrouvée sur l’ensemble des marchés adressés par le groupe. Airbus Helicopters a enregistré 393 commandes nettes tandis que les prises de commandes d’Airbus Defence and Space ont augmenté de 15 % à 15,7 Mds€.