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À 42 ans, Élodie Barlow vient d’être nommée à la tête du pôle conseil stratégique de la filiale toulousaine de l’agence de relations presse Oxygen. Après des études en classes préparatoires littéraires et une maîtrise en littérature anglaise, l’intéressée a commencé sa carrière en Angleterre et y a travaillé pendant 15 ans, notamment dans le secteur de la communication où elle a coordonné des équipes pluridisciplinaires composées d’experts en relations médias, en direction artistique, en événementiel et en marketing digital, dans le but de soutenir la stratégie globale définie.

C’est en 2018 qu’Élodie Barlow a rejoint le groupe Oxygen en qualité de directrice de clientèle. Dans ce nouveau rôle de directrice du pôle, Élodie Barlow a pour mission d’accompagner les clients de l’agence et de nouer de nouvelles collaborations pour résoudre des problématiques stratégiques complexes telles que la raison d’être, la plateforme de marque ainsi que les enjeux de RSE et de marque employeur.

Elle est également responsable de l’orchestration des différents pôles d’expertise de l’agence, tels que les relations médias, l’événementiel et le marketing digital, afin de mettre en oeuvre ces stratégies de manière cohérente et efficace.

Le 22 juin, l’Europe a confirmé son intention d’accompagner financièrement la réalisation du Grand projet ferroviaire du Sud-Ouest (GPSO) : la ligne à grande vitesse entre Bordeaux, Toulouse et Dax. Dans le cadre de l’appel à projets 2022 du « Mécanisme pour l’interconnexion en Europe », ce sont ainsi 32,5 M€ pour les études de la ligne nouvelle et 27,2 M€ pour la première étape des travaux des Aménagements Ferroviaires au Sud de Bordeaux qui sont attribués au GPSO. Une annonce saluée par l’ensemble des acteurs impliqués dans ce projet de mobilité d’envergure.

« C’est une très bonne nouvelle pour la lutte contre le réchauffement climatique et le désenclavement du sud de l’Europe. Nos concitoyens, nos territoires et nos entreprises attendent cette ligne à grande vitesse depuis plus de 30 ans », a notamment déclaré la présidente de la Société du GPSO, présidente de la Région Occitanie, Carole Delga.

Et de poursuivre : « L’Europe confirme aujourd’hui que le projet de ligne nouvelle est un programme stratégique pour les mobilités futures sur notre continent. Depuis la fin des années 30, le réseau ferroviaire français a été divisé par 2,3 quand, dans le même temps, la population a gagné 26 millions d’habitants supplémentaires. GPSO s’inscrit dans la relance du rail que j’appelle de mes voeux au niveau européen face à l’urgence climatique. Désormais, ce projet est pleinement reconnu dans les priorités de l’Europe en matière de développement d’infrastructures sobres, résilientes et performantes. Cette annonce constitue une nouvelle étape déterminante dans la perspective d’engager les premiers travaux dès la fin 2023. »

Depuis 2007, le bureau d’étude conseil Polyexpert Environnement accompagne les grands opérateurs publics comme privés de l’immobilier et de l’aménagement du territoire pour construire des bâtiments durables au service des usagers. L’entreprise, née à Toulouse, est implantée aujourd’hui partout en France à travers neuf agences. Elle compte une soixantaine de collaborateurs et a réalisé en 2022 un CA de 5 M€.

Après 16 ans d’expertise, de conseil et de projets menés aux côtés de ses clients et de ses partenaires, Polyexpert Environnement, filiale du Groupe Polyexpert, change de nom pour devenir Ekkoïa et poursuit son activité et sa croissance. « Nous oeuvrons depuis toujours afin de contribuer à un immobilier responsable, qualitatif, adapté à l’environnement et à l’usager. Des années qui ont façonné notre identité et notre positionnement de bureau d’études multicritères autour de nos quatre pôles métiers : thermique, environnement, acoustique et biodiversité. Et qui nous confèrent aujourd’hui une légitimité et un rayonnement national. C’est le moment que nous avons choisi pour faire évoluer notre identité, plus en phase avec nos métiers et ce que nous sommes, tout en conservant notre appartenance et notre attachement au groupe Polyexpert », a expliqué dans un communiqué Nicolas Duhameau, directeur général d’Ekkoïa.

À partir du 8 juillet, le musée Ingres Bourdelle de Montauban présente aux visiteurs ses deux grandes expositions de l’été 2023. La première baptisée « Bourdelle la mémoire des objets » est réalisée avec le soutien exceptionnel du musée Bourdelle de Paris.

À travers une sélection de 150 oeuvres et objets (photographies, croquis, tenues, outils, etc.) issus de son atelier et de son appartement, l’exposition met en lumière le quotidien d’Émile-Antoine Bourdelle, son histoire, ses goûts artistiques, son travail… Pour « Un miroir du Monde », la deuxième grande exposition de la saison estivale, le musée a donné carte blanche à Anne et Patrick Poirier.

À la fois sculpteurs, architectes et archéologues, le couple s’approprie pour l’occasion la salle du Prince Noir. Un espace monumental du XIVe siècle situé dans les sous-sols de l’établissement avec une installation inédite. Et pour la première fois, l’ancienne prison est également investie.

À travers ces deux installations, le duo que forment Anne et Patrick Poirier, métamorphose les lieux et nous invite à porter un nouveau regard, non seulement sur les vestiges remarquables d’une époque révolue, mais aussi par leur dimension métaphorique, sur le monde actuel. « Bourdelle la mémoire des objets » et « Un miroir du Monde », au musée Ingres Bourdelle de Montauban.

Informations sur le site museeingresbourdelle.com ou au 05.63.22.12.91.

ATR, le constructeur numéro un mondial d’avions régionaux a annoncé la nomination d’Alexis Vidal au poste de directeur commercial. Directement rattaché à Nathalie Tarnaud Laude, sa présidente, il rejoint le comité exécutif de l’entreprise. À 42 ans, il succède à Fabrice Vautier qui prend de nouvelles responsabilités au sein du groupe.

Titulaire d’un master en ingénierie aéronautique de l’École centrale de Lyon et de l’Imperial College London (Royaume-Uni), Alexis Vidal est aussi diplômé d’un master en management d’HEC Paris. Il a commencé sa carrière chez Airbus en 2004 en tant que responsable du développement commercial au sein de la division satellite, aujourd’hui Airbus Defence and Space.

Il a ensuite rejoint Airbus Helicopters en 2007 et occupé divers postes à responsabilités avant d’être nommé directeur commercial pour les secteurs de l’énergie et du leasing en 2016. En 2019, il rejoint Airbus commercial aircraft en tant que responsable des ventes pour le service client. Dans son dernier poste en 2021, Alexis Vidal était responsable du marketing pour les programmes gros porteurs.

Depuis le 1er juillet, Sophie Delage a pris ses fonctions de directrice régionale de Veolia recyclage et valorisation des déchets (RVD) de la région Sud-Ouest, à Toulouse. Elle remplace Alexander Mallinson, nommé à la direction régionale Centre Ouest de Veolia activité Eau à Nantes. Ingénieure diplômée de l’Insa Toulouse, Sophie Delage, 43 ans, a commencé sa carrière chez Veolia en 2002.

De la gestion de déchetteries au poste de secrétaire générale de Veolia RVD en région Sud-Ouest, en passant par la direction des unités de valorisation énergétique de Toulouse, Nîmes et Sète, elle a occupé de nombreux postes à responsabilités dans la gestion et le traitement des déchets auprès des collectivités locales et des entreprises. L’activité RVD de Veolia exploite 40 sites dans le Sud-Ouest, spécialisés en collecte, tri et valorisation des déchets au service des entreprises et des collectivités locales.

La caisse d’Allocations familiales de la Haute-Garonne a labellisé six nouvelles structures portant à 57 le nombre de crèches Avip sur le département. Le dispositif Avip, créé en 2016, est porté par la branche Famille de la Caf. Les crèches labellisées Avip ont pour mission de favoriser l’accès à l’emploi des parents ayant des enfants de moins de trois ans sans solution d’accueil, en leur permettant de bénéficier d’une place d’accueil et d’un accompagnement personnalisé intensif sur une durée de 6 à 12 mois. En 2022, sur les 1803 places d’accueil qu’offraient les 52 établissements labellisés, 30,4 % des places ont été occupées par des enfants dont les parents sont demandeurs d’emploi ou en démarche d’insertion.

401 familles ont été accompagnées, soit 30 % de plus qu’en 2021. 80,5 % des parents ayant signé un contrat avec la structure d’accueil de leur enfant et Pôle emploi ont trouvé une formation ou un emploi. Depuis 2018, 965 K€ ont été versés par la Caf de la Haute-Garonne dans le cadre de ce label. La volonté de la Caf est de poursuivre cette dynamique. En effet, l’absence de mode d’accueil est un des freins majeurs à l’accès à la formation et à l’emploi.

Grâce à ce dispositif, 204 personnes ont pu bénéficier d’un retour à l’emploi ou à la formation. La Caf travaille en coopération avec Pôle Emploi, la Mission Locale, le Conseil départemental, le Plan Local pluriannuel pour l’insertion et l’emploi (Plie) et l’association Forum Réfugiés (programme Accelair 31).

Les rugbymen Yann Delaigue, Stefon Armitage, Byron Kelleher, Carlos Spencer, Vincent Clerc, Émile Ntamack, François Trinh- Duc, les handballeurs Jérôme Fernandez, William Accambray et Christophe Kempe et le skipper Damien Seguin vous donnent rendez-vous au port de la Daurade à Toulouse du 29 juinau 2 juillet à l’occasion d’une nouvelle édition de waterugby, tournoi de rugby sur l’eau. Le waterugby se déroule sur une barge flottante de 40 x 35 m, transformée en terrain de jeu où les règles traditionnelles du rugby sont revisitées.

Ici, il n’y a pas de touche, pas d’en-but. Pour marquer, les joueurs et joueuses doivent littéralement plonger. Cette édition, sponsorisée pour la deuxième année consécutive par Eden Park, rassemblera plus de 650 joueurs et joueuses. L’entrée au waterugby est gratuite. Plusieurs tournois sont organisés pour permettre aux amateurs, petits et grands, femmes et hommes, étudiants ou entreprises de participer à l’événement.

Plus d’informations sur le site : waterugby.com

L’Académie de l’air et de l’espace (AAE) organise le 27 juin à 18 heures à la médiathèque José Cabanis une conférence autour des enjeux de la décarbonation de l’aviation. Elle a pour thème : « Les aéronefs électriques : l’avenir de la mobilité urbaine ? » Elle sera animée par Alain Cassier, président du comité de programme du colloque « UAM by e-VTOL », membre de l’AAE.

De nombreux projets d’aéronefs à décollage et atterrissage verticaux (VTOL) électriques multi-rotors voient le jour et visent les marchés du taxi aérien urbain et de l’aéromobilité urbaine (UAM = Urban Air Mobility). Ils donnent l’espoir que chacun puisse bientôt se déplacer en ville en volant audessus des embouteillages sans générer de nuisances environnementales grâce à la motorisation électrique. Même si certains de ces projets atteignent le stade des essais en vol et semblent proches de la mise en service, il reste des obstacles à franchir pour que ce rêve devienne une réalité.

Cette conférence se propose donc d’étudier sous quelles conditions un service de transport aérien urbain pourrait rapidement être déployé.

Pour plus d’informations : www.bibliotheque.toulouse.fr

Paysagiste à Cugnaux depuis 14 ans Matthieu Carla, fondateur avec son épouse Charlotte des Jardins de Matthieu, vient de se qualifier pour la finale du concours Le Carré des Jardiniers qui se déroulera les 5, 6 et 7 décembre prochains, au parc des expositions de Lyon.

Objectif : décrocher le prestigieux titre de « maître jardinier ». Sur le thème « Biodiver’cité : comment habiter la ville de demain ? », le paysagiste a imaginé un jardin suspendu pour s’adapter aux contraintes architecturales d’une implantation au coeur des villes.

Doté d’une « Tiny Forest », petite forêt favorisant la restauration des écosystèmes et permettant la création rapide de fraîcheur et d’ombrage, agrémenté de plantes indigènes adaptées au climat, promouvant une gestion vertueuse de l’eau, notamment grâce à un programmateur connecté intelligent qui s’adapte aux conditions météo, ce jardin écoresponsable privilégie également la brique toulousaine recyclée et des bouteilles reconditionnées en provenance du Marché d’Intérêt National de Toulouse, créant un espace tridimensionnel à vivre et à contempler. Le concours Carré des Jardiniers a lieu tous les deux ans, dans le cadre du salon Paysalia. Il a été créé en 2011 par des professionnels du paysage et du jardin.

Directrice des centres de Toulouse Métropole Ariège (TMA) depuis trois ans, Annie Brinet a été nommée directrice régionale adjointe de l’Agence nationale pour la formation professionnelle des adultes (Afpa) Occitanie. Venant du domaine de l’économie sociale et solidaire, Annie Brinet a intégré l’Afpa en 2000 en tant que formatrice en gestion d’entreprise.

Elle a ensuite occupé les fonctions de directrice adjointe à Alès-La Grand-Combe (2007), puis a pris la direction des fonctions support des régions Languedoc-Roussillon (2010) et Midi- Pyrénées (2012). Par la suite, Annie Brinet est devenue directrice de centres et a successivement dirigé l’Afpa d’Avignon-Le Pontet (2013) l’Afpa de Montpellier-Saint Jean de Védas (2017) et Toulouse Métropole (Balma et Palays) Ariège (Foix et Pamiers) depuis 2020.

C’est Serge Dreyer, ancien directeur des centres Afpa du Tarn et de l’Aveyron qui prend sa succession à la tête de TMA. Après une longue expérience dans le soudage, c’est en janvier 1995 que l’intéressé a commencé son parcours à l’Afpa en tant que formateur soudeur, d’abord à Limoges puis à Toulouse- Bordelongue.

En 2003, Serge Dreyer a évolué vers des fonctions d’ingénieur de formation à Vénissieux puis de manager de formation dès 2008 à Toulouse. C’est en 2013 qu’il a pris la direction des centres aveyronnais (Rodez et Decazeville), puis de ceux du Tarn et de l’Aveyron à partir de 2015.

Le 9 juin dernier, les élus régionaux ont voté une subvention globale de plus de 940 000 € destinée à l’accompagnement de d’opérateurs culturels régionaux et de projets de films de fiction, de documentaires et de séries télévisées.

Dans le cadre de l’aide à la diffusion de l’art contemporain, la Région accompagne les programmes d’expositions, les résidences d’artistes et les festivals. Objectif ? Permettre à un public nombreux de venir découvrir de nouvelles créations contemporaines sur l’ensemble du territoire régional et aux artistes de produire leurs oeuvres dans les meilleures conditions possibles.

À ce titre, 24 opérateurs culturels régionaux vont bénéficier d’une aide de 522 000 €. Parmi eux : Visa pour l’image (66), pour l’organisation du festival et les actions menées par le centre international du photojournalisme (92 000 €) ; l’association l’E-enfance de l’art (48) pour le programme des actions artistiques et culturelles (10 500 €) ; Le Nouveau Printemps de septembre (31) pour l’organisation du festival (66 500 €) ou encore Arrêt sur images – centre de photographie de Lectoure (32) pour le soutien au programme des actions artistiques et culturelles (58 000 €). Autre secteur soutenu, la création audiovisuelle.

À ce titre, la Région va accompagner cette année encore pas moins de 14 projets pour un montant de 419 000 €. Parmi lesquels : la production de la web série Patience mon amour de Camille Duvelleroy à Toulouse (90 000 €) ou celle de la série télévisée Panda de Thomas Mansuy et Mathieu Leblanc dans le Gard (135 000 €).

La Maison de la formation Jacqueline Auriol (MFJA) de l’Université Paul Sabatier (UPS), construite dans le quartier de Montaudran, a été inauguré le 12 juin. Elle regroupe des formations initiales et continues de l’UPS, de l’Insa Toulouse et l’Isae Supaero, du niveau technicien supérieur à ingénieur. Elle a accueilli ses premiers étudiants le 3 janvier 2022.

Ce nouveau lieu dédié à la filière du génie mécanique et productique pour l’aéronautique et le spatial a été cofinancé par l’État, la région Occitanie et Toulouse Métropole dans le cadre de l’opération Campus. La MFJA a en effet bénéficié d’un financement à hauteur de 39,13 M€ (dont 24,93 M€ de l’État, 13,2 M€ de la Région Occitanie et 1 M€ de Toulouse Métropole). Le Crous Toulouse-Occitanie a également participé à hauteur d’1 M€ pour assurer la restauration dans ce bâtiment.

Le suisse H55, pionnier dans le développement de solutions de propulsion électrique et de pack de batteries pour l’aviation propre, installera sa nouvelle filiale à Toulouse. Cette décision stratégique est une étape importante dans le projet d’expansion globale de H55 en vue de répondre à la demande grandissante de ses technologies en France et en Europe.

Ses systèmes de propulsion électrique et de pack de batteries innovants de H55 ont déjà été intégrés au sein de plusieurs projets d’avion durable à faible émission dans l’aviation générale, la formation des pilotes et le transport régional. Le projet de H55 a été accompagné par Invest in Toulouse, département du développement économique de l’Agence d’attractivité de Toulouse Métropole.

La filiale toulousaine, qui s’installera dans le bâtiment B612 à Montaudran, servira de base stratégique pour les opérations de H55 qui incluront le développement, le test, l’intégration de ses technologies dans les aéronefs et le service client.

Le lotois Whylot, deeptech française spécialisée dans le développement d’un moteur électrique à haut rendement, annonce sa sélection pour le programme French Tech 2030, nouveau programme d’accompagnement opéré par La Mission French Tech aux côtés du Secrétariat général pour l’investissement (SGPI) et de Bpifrance. Il vise à défendre la souveraineté française et développer les leaders mondiaux de demain.

Whylot fait partie des 125 lauréats sélectionnés parmi les 844 dossiers reçus. Dans le cadre de ce programme, la PME bénéficiera de l’accompagnement de la Mission French Tech sur les enjeux réglementaires, normatifs, commerciaux et industriels, ainsi que d’une visibilité augmentée en France et à l’international.

La PME bénéficiera, en outre, d’un accompagnement financier, avec un accès renforcé aux financements publics de France 2030 en lien avec Bpifrance, ainsi que d’opportunités de rencontre avec des acheteurs publics et privés. Fondée en 2011 par Romain Ravaud, Whylot a inauguré en 2015 sa première usine à Cambes, au coeur de la Mecanic Vallée, dans le Lot.

D’une superficie de 1 500 m2, cette usine est dédiée à la conception, au prototypage et à l’industrialisation d’un moteur électrique à flux axial permettant un rendement supérieur aux moteurs électriques traditionnels et destiné à tous les secteurs de la mobilité. L’entreprise, qui emploie 40 collaborateurs, a déposé 68 brevets, dont 22 en partenariat avec Renault Group, actionnaire et partenaire industriel de référence de Whylot.