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Après l’annulation du festival 2020 et un report à l’automne de l’édition 2021, le festival de jazz du sud de la Haute-Garonne retrouve ses dates habituelles à l’occasion du grand week-end de l’Ascension, du 25 au 29 mai. Avec « une programmation musicale ouverte à tous les styles avec comme particularité, cette année, le choix de musiciens majoritairement français », précisent Pierre Jammes, président du festival et Evelyne Joyer, présidente de l’association Clap qui signent la programmation de cette nouvelle édition de Jazz en Comminges. En ouverture de cet opus 2022, le parc des expositions de Saint-Gaudens accueillera une création, une première dans l’histoire du festival, du saxophoniste Baptiste Herbin associé à Nicolas Gardel (trompette), Laurent Coulondre (piano) et Yoann Serra (batterie), qui a également mobilisé le Collège Didier Daurat et le conservatoire de musique de Saint-Gaudens.

Ibrahim Maalouf, l’instrumentiste le plus populaire de la scène musicale française, accompagné du guitariste François Delporte, est aussi à l’affiche de cette première journée. D’autres pointures seront également là : l’artiste de l’année aux Victoires du Jazz 2014, Émile Parisien et son sextet, mais surtout Michel Portal qui, à 85 ans, n’a rien perdu de son enthousiasme. Il sera accompagné d’un nouveau groupe entremêlant allégrement générations et traditions musicales. Autres stars attendues : André Manoukian. L’auteur-compositeur, pianiste et chroniqueur n’est pas venu seul puisqu’avec la chanteuse Élodie Frégé, gagnante de la Star Ac’3, mais aussi auteure-compositrice et musicienne, ils formeront un duo intimiste autour d’un répertoire de jazz éclectique. Autre moment attendu : la venue de l’Américaine Rhoda Scott, infatigable reine de l’orgue Hammond, à la tête d’une formation féminine élargie qui impulse un groove collectif absolument imparable. Même enthousiasme débordant du côté du natif de Côte d’Ivoire, Samy Thiébault dont le dernier album, sorti en 2019, a été classé parmi les cinq meilleurs albums de 2019. Pour clore le festival in, les organisateurs ont fait appel à une autre référence, le groupe Electro Deluxe dont le cocktail sur-vitaminé de soul et de funk a permis à la formation de durer : elle fête ses 20 ans cette année.

La toute nouvelle création des Philosophes Barbares, présentée au Théâtre du Grand Rond du 24 au 28 mai, est un petit joyau d’ingéniosité et d’humour noir. La compagnie continue de creuser le théâtre d’objet et de détourner tout ce qui lui passe sous la main pour raconter notre monde qui part en sucette (bio). Ce coup-ci c’est le monde agricole qui passe sous le microscope des trois philosophes. Émile Latouche aurait pu rester dans l’ignorance, comme la majeure partie de ses congénères. Mais, un jour le petit Émile a eu la chance de rencontrer, l’Aveyron. Et l’Aveyron ça n’est pas à la portée de tout le monde.

C’est dans cet environnement inhospitalier fait de boue, de paysans, de tripoux et d’injonctions mystérieuses aux consonances préhistoriques, que le jeune garçon connaît l’épiphanie. Alors qu’il est au plus sombre de son histoire, obligé d’aller planter des salades dans un champ de boue, Émile a une apparition. Un mystérieux personnage drapé de bleu avec une couronne d’étoiles descend du ciel tel un ange pour lui venir en aide. Elle/il lui offre un pschitt pschitt magique « et PAC ça pousse ». À partir de maintenant, il aura le pouvoir de faire pousser n’importe quoi n’importe où : une graine (un peu d’engrais), de l’eau (un peu d’engrais), de la bonne terre (avec de l’engrais) ça y est : le Miracle s’accomplit. Grâce à ce don exceptionnel de la nature et à son fidèle Pschitt à l’azote, Émile Latouche devient Agrikultor, vole au secours de la veuve et de l’orphelin, intervient dans les conflits internationaux, lutte contre le grand banditisme. Partout où la violence et la haine font rage, Agrikultor fait pousser des salades. Mais les super pouvoirs, tout le monde le sait, sont des pouvoirs dont il faut se méfier…

Le 26 mai à 20 heures à la Halle aux Grains, l’Orchestre national du Capitole de Toulouse, sous la baguette du chef américain Ryan Bancroft, fera dialoguer deux figures majeures de la musique britannique, Elgar et Britten. En 1898, Edward Elgar (1857-1934) improvise au piano. Sa femme lui glisse alors qu’un tel thème pourrait donner lieu à bien des variations… Le compositeur se prend alors au jeu, et imagine une série de portraits musicaux de ses proches : sa femme, puis des amis musiciens, tantôt accomplis, tantôt simples amateurs, nourrissent l’imagination du malicieux musicien. Elgar ne s’arrête pas là : il insère aussi des thèmes cachés, « énigmatiques », que les mélomanes s’amusent encore à décrypter, plus d’un siècle après la création de l’œuvre ! Du God save the Queen à des citations empruntées à Mozart, les Variations Enigma offrent un jeu de piste musical autant que des thèmes inoubliables. Lors de ce concert, le violoniste américain Benjamin Beilman leur adjoindra le Concerto pour violon de Benjamin Britten (1913-1976). Alors que la Deuxième Guerre mondiale fait rage, le compositeur pacifiste, figure majeure de l’Angleterre musicale, est alors exilé aux États-Unis. Un tel contexte inspire à Britten une œuvre redoutable, que peu de violonistes osent affronter. Virtuose exceptionnel, Benjamin Beilman met sa technique hors du commun au service d’un des grands concertos du XXe siècle.

Fondée en 2013, l’entreprise Telegrafik qui rend les technologies du « Care » accessibles au plus grand nombre avec des services connectés au service du bien vieillir, vient de signer un partenariat avec Groupama d’OC qui veut mettre au service de ces innovations sa capacité d’expérimentation et de promotion de nouvelles technologies. « Le partenariat avec Groupama d’Oc permettra aux solutions connectées Telegrafik, comme la détection des chutes et des situations anormales ou les dispositifs et logiciels pour le maintien à domicile renforcé, d’être proposées en complément des produits d’assurance portés par notre partenaire », précise Carole Zisa-garat, CEO de Telegrafik.

Isabelle Deloeil Geraud a été nommée le 19 avril dernier déléguée générale de la région Grand Sud-Ouest de Société Générale, qui couvre les régions de Poitou-Charentes, de l’Aquitaine, du Limousin et de Midi-Pyrénées. Elle était, depuis novembre 2021, déléguée générale de la délégation régionale Grand-Est. Elle aura pour mission d’œuvrer à la mise en place de la future région SG Sud-Ouest, dont elle aura la responsabilité effective au moment de la fusion juridique des deux réseaux en janvier 2023. Diplômée d’un DESS banques et finances et d’un magistère d’économie et gestion de l’université de Paris X, elle a intégré le groupe Société Générale en 1995 où elle a exercé différentes fonctions au sein du réseau avant de rejoindre en 2001, la direction commerciale entreprises de la Banque de détail, puis la direction du développement du commerce international de Société Générale Global Transaction & Payment Services. En 2011, elle est nommée directrice exécutive du plan de transformation de la Banque de détail Société Générale, puis directrice du centre de relation clients de Lille en 2014. Elle rejoint ensuite la direction régionale d’Arras pour en prendre la tête en avril 2016.

Eolmed vient d’annoncer la concrétisation de son projet éolien flottant en Méditerranée. La ferme pilote flottante, l’une des trois premières en France, sera mise en service mi-2024. Le projet qui réunit Qair TotalEnergies et BW Ideol, fournisseur de la technologie de flotteur, associe également des entreprises régionales telle que Matière, dans le Lot, pour la construction des flotteurs, à des financeurs publics et privés. Le projet qui, répond à l’ambition de l’Occitanie de devenir la première Région européenne à énergie positive d’ici 2050, démarrera à l’automne 2022. La ferme sera installée à plus de 18 km au large des côtes de Narbonne (11), dans le respect du paysage côtier et de la faune maritime. La ferme pilote et ses trois éoliennes de 10 MW chacune seront montées sur des flotteurs BW Ideol en acier et reliées au Réseau de Transport d’Électricité (RTE) par un câble sous-marin installé par ce dernier. Pour ce faire, la Société d’économie mixte à opération unique (Semop) Port La Nouvelle, qui regroupe les partenaires publics et privés chargés d’assurer l’aménagement, l’exploitation, la gestion et le développement du port de Port-la Nouvelle, prévoit une extension de son port maritime. L’État accompagnera les travaux d’extension à hauteur de 32 M€.

D’ici fin 2022, Randstad France, un des leaders sur le secteur des ressources humaines, qui a réalisé un chiffre d’affaires de 3,6 Mds € l’an dernier, recrute 370 collaborateurs et collaboratrices en CDI Intérimaire. Les postes sont à pourvoir dans toute la région Occitanie, dans les secteurs d’activité du BTP, du transport logistique, de l’industrie et du tertiaire. Parmi les profils les plus recherchés par les entreprises figurent les chauffeurs poids lourd et super poids lourd, les électriciens, les ouvriers du bâtiment, les caristes, les téléconseillers, les préparateurs de commandes, les conducteurs d’installations et de machines automatisées, etc. Ces postes sont accessibles aux débutants comme aux candidats disposant déjà d’une expérience professionnelle. Dans le département de la Haute-Garonne, une centaine de postes est à pourvoir. En Tarn-et-Garonne, 20 profils sont recherchés.

L’année 2022 marque le centenaire de la donation Toulouse-Lautrec au musée d’Albi (81). Cette donation a métamorphosé le modeste musée de province en musée de renommée internationale. À l’occasion des 100 ans de cette collection unique au monde, une exposition événement est organisée du 17 mai au 4 septembre par ce remarquable musée situé au cœur de la cité albigeoise, dans un site classé au Patrimoine Mondial de l’Humanité depuis 2010. Baptisée « Quand Toulouse-Lautrec regarde Degas », l’exposition se propose de mettre en avant le regard qu’a porté le jeune Henri de Toulouse-Lautrec (1864-1901) sur l’œuvre d’Edgar Degas (1834- 1917) et offre une approche nouvelle de l’œuvre de Toulouse-Lautrec en interrogeant ses sources d’inspiration. Des prêts importants, provenant de grandes institutions nationales, comme le musée d’Orsay, et européennes ainsi que de collections privées, viennent illustrer le parcours de l’exposition et dialoguent avec le fonds du musée Toulouse-Lautrec, soit plus de 80 œuvres réunies.

À l’occasion de la 16e édition de la Fête de la Nature, les Espaces EDF Bazacle convient du mercredi 18 au dimanche 22 mai, les visiteurs à partir à la découverte des richesses de la nature qui les entourent autour de nombreuses animations dédiées. Jeu de piste, visite guidée, parcours ludique, découverte du monde des abeilles… Le Bazacle propose une programmation gratuite autour du thème de la nature à découvrir en famille. Tout au long de ces cinq jours, il sera possible d’observer la faune et la flore de la Garonne en compagnie d’un médiateur : une expérience grandeur nature au carrefour de Toulouse et de la Garonne. (Réservation obligatoire au 05 62 30 16 00, dans la limite des places disponible.) Le Bazacle emmène également ses visiteurs à découvrir un parcours ludique et interactif qui met à l’honneur la biodiversité des environs.

À l’aide de son smartphone et grâce à l’application « Explorama », en famille, seul ou entre amis, chacun peut découvrir les secrets de la nature aux abords du Bazacle. Un jeu de piste, intitulé « Mon carnet du petit naturaliste » est également au programme des festivités. Petits et plus grands pourront s’amuser à parcourir le Bazacle en réalisant des défis sur la biodiversité qui les entoure, à l’aide du petit carnet qui leur sera remis. L’abeille est également mise à l’honneur au travers de ruches installées sur le toit du musée qui abritent des centaines d’abeilles. Rendez-vous le dimanche 22 mai, de 10 heures à 18 heures avec un apiculteur qui plongera les visiteurs dans l’univers des abeilles et de la production de miel. Le tout, en compagnie de « Ruches & Co », qui propose des solutions aux entreprises pour protéger les abeilles.

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Le chef-d’œuvre de l’opéra-bouffe, Le Barbier de Séville de Rossini, est à l’affiche du Théâtre du Capitole, dans une nouvelle production. La mise en scène est signée de l’autrichien Josef Ernst Köpplinger, tandis que la direction d’orchestre a été confiée à l’Italien Attilio Cremonesi. Autour du baryton Florian Sempey, dans le rôle de Figaro qui fera ses débuts au Capitole, une double distribution a été réunie, avec notamment Eva Zaïcik, Kévin Amiel, sans oublier la basse Roberto Scandiuzzi dans le rôle de Basilio. De la pièce de Beaumarchais, le compositeur fait un opéra buffa en deux actes, d’abord rejeté, dit-on, par la critique virulente du public romain. Imbroglio des positions sociales, pirouettes lyriques et verbales et kaléidoscope de situations ambiguës animent en effet le chef-d’œuvre de Rossini.

Ce théâtre de l’enivrement comique, aux profils psychologiques parfaitement définis, tire sa force d’une multitude d’autocitations musicales et d’une pyrotechnie vocale dont chaque note, chaque ornement est scrupuleusement écrit, précaution inattendue à l’époque de Rossini dans l’opéra buffa. Ce que le chanteur perd en liberté d’improvisation, le drame le gagne en efficacité et en verve humoristique. Quant à Florian Sempey, il affirme être viscéralement attaché au Barbier de Séville, et à Rossini en général. « Ma famille maternelle est italienne, un buste du compositeur trônait chez mes grands-parents et Le Barbier est le tout premier opéra que j’ai entendu au disque. Dès mon entrée au conservatoire de Bordeaux dans la classe de Maryse Castets, qui est toujours mon professeur de chant, j’ai souhaité travailler le rôle dans son intégralité. Mais je ne l’ai abordé à la scène qu’en 2012, à l’Opéra de Bordeaux justement. C’est aujourd’hui un immense bonheur pour moi de faire mes débuts au Capitole avec mon cher Figaro ! J’ai voulu explorer la face sombre du personnage et faire jouer. La dualité entre la joie et le ressentiment », plaide-t-il. Le 20, 21, 24, 25, 27 et 28 mai à 20 heures. Le 22 et 29 mai à 15 heures.

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2022 est véritablement une année record pour Irrijardin, qui dépasse la dizaine d’ouvertures de nouveaux magasins en France. Après déjà neufs nouvelles ouvertures depuis le début de l’année, Irrijardin poursuit son développement aux mois de mai et de juin, avec l’inauguration de deux nouveaux magasins près de Lorient (56) et d’Angoulême (16). Le dixième magasin Irrijardin de l’année a ouvert ses portes à Caudan (56) le 5 mai. Gwenaëlle Le Clézio & Marc Le Tallec envisagent un chiffre d’affaires de 750.000€ pour leur 18 premiers mois d’exercice et ont d’ores-et-déjà recruté une personne pour atteindre cet objectif. Le 2 juin prochain, Amélie et Maxime Pasquier ouvriront à Soyaux (16) un magasin de 320 m². Créé en 1989 à Portet-sur-Garonne, Irrijardin développe des solutions d’arrosage à monter soi-même et déploie, depuis les années 1990, le même concept sur le marché émergeant de la piscine. Le spa est devenu un troisième secteur d’activité porteur.

La Cité de l’espace organise le mercredi 18 mai de 18h30 à 20h30, une conférence sur la thématique : « Kinéis-Hemeria : un projet ambitieux de constellation européenne ». Proposée dans le cadre du cycle de conférences « Les rendez-vous Espace », en partenariat avec l’association Aéronautique et Astronomique (3AF) et le Cnes (Centre national d’études spatiales), cette conférence sera animée par Rémi Ferrier, directeur produits chez Kinéis et Arnaud Varinois, responsable ingénierie satellite chez Hemeria. Après un retour d’expérience réussi du premier nanosatellite industriel français Angels, conçu par le Cnes et lancé dans l’espace en octobre 2019, le projet de constellation européenne Kinéis-Hemeria devrait faire basculer l’Europe dans l’ère du New Space. L’objectif de cette constellation européenne est de permettre, d’ici à 2030, de relier facilement des millions d’objets connectés, dit Internet des Objets (IoT). Angels fait partie de cette constellation de 25 nanosatellites opérés par Kinéis, filiale toulousaine du Cnes et qui seront lancés successivement courant 2023. Rémi Ferrier développera les aspects missions et les enjeux de cette audacieuse constellation européenne. Arnaud Varinois présentera quant à lui le design des satellites et les innovations technologiques embarquées.

Entrée gratuite sur inscription ici.

Jean-Luc Moudenc, maire de Toulouse, président de Toulouse Métropole, vient de nommer Marie Lemahieu-Charrière au poste de responsable du service de presse des deux collectivités. Diplômée en sciences politiques, Marie Lemahieu-Charrière a derrière elle un parcours professionnel de 25 ans, notamment en agences de communication spécialisées en relations presse et publiques. Après un début de carrière à Lyon dans l’événementiel médiatique, elle devient directrice associée de l’agence parisienne Wellcom en 2000. Elle rejoint Toulouse, sa ville natale, en 2007 où elle fonde La Mini Agence puis intègre, sept ans plus tard, en qualité d’associée cogérante l’agence Anouk Déqué Communication. Début 2021, Marie Lemahieu-Charrière avait pris les fonctions de directrice de la communication du Centre hospitalier universitaire de Toulouse.

Après la signature de trois partenariats sur le premier trimestre 2022 (Creativ’expertiz, Viasso et Elexia), Opisto poursuit son développement et celui de ses offres, et se présente désormais comme un partenaire incontournable pour tous les acteurs du secteur automobile. En ce début de mois d’avril, Opisto a ainsi conclu un nouveau partenariat avec CapsAuto, acteur majeur de la gestion de la réparation automobile, qui apporte à ses clients assureurs, des solutions visant à réduire leur charge sinistre, maîtriser leurs coûts de gestion et générer de la satisfaction client. Opisto a également concrétisé un partenariat avec A + Glass, premier réseau spécialiste de la réparation de vitrage et d’éclairage automobile français qui possède plus de 450 centres. Fondé à Toulouse en 2010, Opisto s’affiche aujourd’hui comme le leader de la distribution en ligne des pièces auto d’occasion en France via ses plateformes opisto.fr, opisto.pro et opisto.com qui permettent notamment d’informatiser les stocks de pièces d’occasion des centres VHU (véhicules hors d’usage) et professionnels du recyclage, démocratisant ainsi l’accès aux pièces auto d’occasion auprès de particuliers et professionnels de la réparation auto.

Si la télérelève existe depuis le début des années 2000, ce dispositif a dû attendre l’avancée des nouvelles technologies pour atteindre un haut niveau de fiabilité, stratégique et compétitif. Aujourd’hui, avec le contexte actuel (décret tertiaire, urgence climatique...) les entreprises et les collectivités ne peuvent plus ignorer l’impact environnemental de leurs bâtiments. Réduire ses consommations énergétiques, collecter des données, les analyser en vue de réaliser des économies d’énergie sont des enjeux majeurs. Le système de télérelève (ou smart metering) permet d’accompagner les entreprises et les collectivités. Pour décrypter ce système innovant, ses enjeux et ses avantages, le toulousain Ubigreen publie un livre blanc dédié. Créée en 2012 à Toulouse, Ubigreen est une Proptech spécialisée dans la performance d’exploitation des bâtiments. Sa solution digitale clé en main d’optimisation de la performance des bâtiments, plus particulièrement destinée aux sites tertiaires et aux collectivités combine deux offres complémentaires : Ubigreen Workspace et Ubigreen Energy. La première permet de gérer et d’optimiser l’utilisation des espaces de travail et la seconde d’optimiser les consommations énergétiques et émissions de gaz à effet de serre des bâtiments.