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La flore sauvage du Quercy, de l’inventaire à la conservation, une conférence du CPIE Quercy-Garonne

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Photo des animations du CPIE Quercy-Garonne
Le CPIE Quercy-Garonne propose de nombreuses animations pour tous les publics à la découverte de l’environnement, du patrimoine et du développement durable. (©CPIE Quercy-Garonne)

Tel est le thème de la conférence, qu’organise le 19 novembre à 18 heures, à la salle de conférence des Granges du Lac, 24 avenue du 8 mai au Caylus, en Tarn-et-Garonne, l’association Al Païs de Boneta, labellisée Centre permanent d’initiatives pour l’environnement (CPIE Quercy-Garonne) dans le cadre de son Programme d’éducation à l’environnement et au développement durable.

L’occasion de découvrir les missions et les actions menées par le Conservatoire botanique national des Pyrénées et de Midi-Pyrénées. Quels sont les méthodologies et les programmes d’inventaire en cours ? Quels sont les risques pour la flore sauvage du Quercy et comment la protéger ? Une conférence de Fabrice Perriat, botaniste, et Jérôme Garcia, chargé d’études, au sein du Conservatoire botanique national des Pyrénées et de Midi-Pyrénées.

Réservation conseillée auprès du CPIE Quercy-Garonne : cpiequercygaronne@orange.fr - 05 63 24 06 26

Toulouse : plus de 3 M€ débloqués pour l’insertion des personnes en situation de handicap

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Alors que la loi fixe l’obligation d’employer au minimum 6 % de travailleurs handicapés pour les entreprises de plus de 20 salariés, mais aussi pour les collectivités territoriales et les établissements publics, la mairie de Toulouse fait office de bon élève avec un taux d’employabilité de 7,30 % d’agents en situation de handicap. Toulouse Métropole, elle, est en deçà avec un taux de 5,63 % sur un effectif total de 15 000 agents (municipalité, Centre communal d’action sociale (CCAS), Centre toulousain des maisons de retraite (CTMR), établissement public du Capitole, Métropole).

Le 7 novembre 2024, une nouvelle convention relative au financement d’actions menées par la Métropole à destination des personnes en situation de handicap a été signée par Christophe Alves, élu en charge du handicap à la Ville et Toulouse Métropole, Claire Roserot de Melin, directrice générale de l’établissement public du Capitole et Séverine Baudoin, directrice adjointe du Fonds pour l’insertion des personnes handicapées dans la Fonction publique (FIPHFP), en présence de Patrick Martinez, directeur régional Occitanie de la Banque des Territoires.

Depuis 2011, date de signature de la première convention entre la mairie de Toulouse, Toulouse Métropole et le FIPHFP, près de 5 M€ ont été consacrés à la mise en oeuvre d’une politique en faveur de l’inclusion des personnes en situation de handicap au travail. Cela a notamment permis : la formation et sensibilisation de près de 2 400 agents, l’aménagement du poste de travail de 1 625 agents, le recrutement de 170 agents en situations de handicap et la prise en charge de 1 500 heures d’interprétation en langue des signes (LSF). Des partenariats ont également mis en place avec des universités, des tiers-lieux, des professionnels de l’emploi permettant l’accueil de 101 apprentis, 270 stagiaires et le recrutement de 173 agents.

Cette nouvelle convention prévoit la déclinaison d’un plan pluriannuel d’actions sur la période 2024-2027 s’élevant à plus de 3,338 M€ autour de plusieurs axes : accessibilité numérique, reclassement, maintien dans l’emploi, commande publique, communication, formation (managers, recruteurs et agents) et recrutement, y compris par voie d’apprentissage. Le plan, qui se veut ambitieux, est financé à hauteur de 1, 643 M€ par le FIPHFP et 1, 695 M€ par les signataires employeurs.

Réseau Entreprendre Occitanie Garonne : une quarantaine d’entrepreurs accompagnés en 2024

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Photo de la 23e fête des lauréats

Dans un contexte économique marqué par de nombreuses défaillances d’entreprises, Réseau Entreprendre Occitanie Garonne continue de soutenir les entrepreneurs qui osent se lancer. C’est ce que révèlent les derniers chiffres d’activité du réseau présentés le 5 novembre 2024 aux Halles de la Cartoucherie à l’occasion de sa 23e fête des lauréats.

Pour rappel, Réseau Entreprendre Occitanie Garonne réunit un 230 chefs d’entreprises qui accompagnent bénévolement des créateurs et repreneurs d’entreprise ainsi que des PME en croissance à travers plusieurs dispositifs et des prêts d’honneur. Elle est présente dans cinq départements d’Occitanie : Haute-Garonne, Gers, Ariège, Tarn-et-Garonne et Lot.

Cet événement traditionnel met à l’honneur les nouveaux lauréats accompagnés par l’association tout au long de l’année. Le 5 novembre, 38 entrepreneurs représentant 28 entreprises ont ainsi partagé leur parcours devant 320 spectateurs, mécènes et partenaires.

L’occasion pour Cécile Thomas, directrice de Réseau Entreprendre Occitanie Garonne de rappeler que l’accompagnement de ces entrepreneurs par l’association « contribue au maintien de 272 emplois (projets de reprise et croissance) et à la création de 57 postes (projets de création). À trois ans, nous anticipons la création de 241 emplois supplémentaires sur nos territoires. »

L’association, qui s’enorgueillit d’un taux de survie à trois ans des entreprises qu’elle accompagne de plus de 90 %, a vu son effectif progresser pour passer de cinq à sept salariés. Objectif : tendre vers une quarantaine d’entrepreneurs soutenus en 2024, soit 30 % de plus qu’en 2023.

Notaires, peintres, œnologues... les professionnels de Balma font salon le 16 novembre prochain

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Photo de plusieurs ouvriers
Les professionnels présents répondront aux demandes de conseils et seront là pour réaliser des projets à venir. (©Pixabay)

C’est une grande première ! Le samedi 16 novembre 2024, de 10 heures à 19 heures, plus de 38 entreprises, commerces et indépendants de la ville de Balma, à l’est de Toulouse (Haute-Garonne), donnent rendez-vous aux habitants à la salle des fêtes L’Odyssée pour promouvoir leurs compétences et savoir-faire.

L’occasion unique pour les visiteurs du jour de rencontrer et d’échanger en un seul lieu avec des architectes, menuisiers, notaires, peintres, électriciens, conducteurs de travaux, agents immobilier, œnologues, charpentiers, assureurs, gestionnaires de patrimoine, artisans, cuisinistes ou encore des paysagistes et des spécialistes de la mobilité urbaine.

Tous sont membres du Club des Réseauteurs de l’association Balma 31 qui existe depuis 10 ans et compte aujourd’hui plus de 90 entreprises et indépendants adhérents. « Ils répondront aux demandes de conseils et seront là pour réaliser des projets à venir », indique Sophie Chéruy, présidente de l’association.

Des animations et conférences gratuites sont aussi programmées, dont des ateliers pour évaluer votre niveau en anglais. Parmi les intervenants, l’agence d’aide à domicile Aquarelle Balma qui abordera deux sujets : la vie d’une auxiliaire de vie et les aides financières et autres pour « bien vivre à domicile ». Ou encore Agrandissimmo, spécialiste de l’extension et de la rénovation à Toulouse et Bordeaux qui animera une conférence avec le Crédit Mutuel sur les aides et financements pour rénover sa maison.

Le centre de maintenance de la future ligne C du métro toulousain sort de terre

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Photo de la pose de la première pierre du bâtiment
Chemin des Daturas, 20 000m² de bâtiments seront ainsi construits pour accueillir le garage atelier et le centre de maintenance de la ligne C du métro toulousain. La première pierre du bâtiment a été posée le 6 novembre 2024. (©Service Presse Tisséo)

Le 6 novembre 2024, Jean-Michel Lattes, président de Tisséo Ingénierie, Tisséo Collectivités, a lancé, aux côtés d’Olivier Arsac, maire du quartier des Sept-Deniers, la construction du futur garage atelier et du centre de maintenance Daturas de la Ligne C.

Chemin des Daturas, 20 000m² de bâtiments seront ainsi érigés sur un terrain de 12 hectares. Ce site stockera et réalisera la maintenance de plus de 34 rames de métro prévues pour accueillir les 200 000 voyageurs/jour estimés à la mise en service de la ligne C annoncée pour 2028. Les travaux de construction du garage atelier ont commencé en 2023, l’arrivée de la première rame étant prévue pour 2027.

Le garage atelier assurera en outre la maintenance de l’ensemble des infrastructures et des équipements qui seront installés tout au long de la ligne. Cela comprend la voie ferrée sur laquelle circuleront les rames de métro, les équipements d’alimentation électrique (3e rail, sous station d’alimentation électrique), les équipements de sécurité (éclairage, portes palières, vidéo-surveillance), les équipements d’exploitation (signalisation ferroviaire). Ce site stratégique comprendra également le poste de commande centralisé (PCC) qui sera mis en place pour assurer l’exploitation de la ligne et la sécurité des équipements et des voyageurs.

Diverses mesures sont prévues pour diminuer l’impact environnemental du site. Outre l’installation de 9 500m² de panneaux photovoltaïques, l’eau utilisée pour le lavage des rames de métros sera recyclée à plus de 80 %. Le site sera également équipé d’un système permettant d’utiliser l’énergie contenue dans les eaux traitées par la station d’épuration de Ginestous voisine.

Après deux ans de travaux et 40 M€ investis, les nouveaux thermes de Luchon ont été inaugurés

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Photo des partenaires financiers du projet
Lundi 4 novembre 2024, les nouveaux thermes de Luchon sont inaugurés en présence des partenaires du projet. (©Thermes de Luchon)

Après un premier coup de pioche donné en juin 2022, les travaux de rénovation et d’agrandissement des thermes de Luchon touchent à leur fin. Piloté par l’ARAC Occitanie durant près de trois ans, ce chantier d’envergure de plus de 40 M€ doit permettre à la station thermale (qui est restée ouverte durant l’intégralité des travaux avec une capacité d’accueil réduite) de retrouver ses lettres de noblesse et un taux de fréquentation digne de son nom.

Désormais sous gestion du groupe landais Arenadour, mastodonte du thermalisme en France qui a investi 5 M€ dans ce projet, les thermes de Luchon ambitionnent en effet d’accueillir à terme jusqu’à 16 000 curistes, contre 6 600 en 2022. Ainsi, depuis mars dernier, la cité thermale accueille les curistes rhumatologie et voies respiratoires dans des infrastructures modernes, avec un parcours de soins repensé. Elle s’est dotée de trois nouveaux espaces bien-être de près de 4 000 m2 avec thermoludisme et sport depuis juillet et un spa pour des soins esthétiques qui ouvrira en fin d’année.

L’inauguration officielle des nouveaux thermes de Luchon version Arenadour a eu lieu le 4 novembre dernier en présence des partenaires financiers du projet, dont Maxime Vilgrain, le président d’Arenadour, Éric Azemar, le maire de Luchon (investissement de 1,25 M€), Pierre-André Durand, le préfet d’Occitanie, Carole Delga, la présidente de la Région Occitanie (2,875 M€), Sébastien Vincini, le président du Conseil départemental de la Haute- Garonne (1,75 M€), Aurélien Joubert, directeur général de l’Arac Occitanie (5,40 M€) ou encore Annabelle Viollet, directrice régionale de la Banque des territoires (3,60 M€).

Un déploiement de force qui vient montrer si besoin en était l’intérêt stratégique de ce projet pour l’économie et le rayonnement du territoire. Et pour cause, si avec 28 stations thermales et près de 190 000 curistes chaque année, le thermalisme régional génère près de 6 millions de nuitées pour 120 M€ de retombées économiques et 2 000 emplois directs, le Covid-19 est depuis passé par là. Durement touchée par la crise sanitaire, la filière peine depuis à retrouver sa dynamique. Déjà en proie à une baisse de sa fréquentation, la station de Luchon n’avait pas échappé à ce ralentissement de l’activité.

« La fin du chantier nous laisse présager une montée en puissance de l’activité thermale à Luchon. Nous constatons une progression significative des réservations avec déjà plus de 7 000 cures honorées en 2024. Toutes les équipes sont sur le pont pour proposer un thermalisme médical de qualité et une offre de bien-être à la hauteur des espérances. Nous travaillons main dans la main avec les acteurs locaux avec un objectif : redynamiser la Reine des Pyrénées », s’est ainsi félicité Maxime Vilgrain, président du groupe Arenadour. La saison thermale 2025 démarrera le 3 mars prochain. Les espaces bien-être et thermoludiques, restent eux accessibles toute l’année.

EyeLights signe un partenariat avec Shoei, leader japonais des casques moto haut de gamme

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À l’occasion du salon de la moto de Milan (EICMA) qui se déroule jusqu’au 10 novembre 2024, la PME toulousaine EyeLights, spécialisée dans les technologies de réalité augmentée dédiées à la mobilité, annonce avoir été choisie par Shoei, le leader du casque moto haut de gamme japonais pour équiper son prochain modèle d’une projection visière tête haute intégrée.

Née en 2016 à Toulouse, EyeLights commercialise depuis 2017 des solutions d’affichage tête haute pour les casques de moto. Elle est devenue l’un des leaders du marché. Intégrée au casque, la technologie de micro-projection nano-OLED développée par EyeLights permet au motard de percevoir les informations de guidage GPS, de vitesse et les alertes en temps réel à trois mètres devant lui, sans jamais quitter la route des yeux. « Comparé à un téléphone fixé sur le guidon ou un écran de moto classique, le gain de temps de réaction qualifié est de 32% », indique la start-up dans un communiqué daté du 5 novembre 2024.

Pour Romain Duflot, fondateur et président d’EyeLights, ce partenariat avec Shoei représente « l’aboutissement » de sa vision et de sa technologie tête haute aujourd’hui adoptée par plus de 20 000 motards en Europe, aux États-Unis et au Japon. « Nous sommes fiers que notre prochaine génération de produit soit intégrée en premier par le leader mondial japonais, et de surcroît sur cette superbe référence de casque ! », assure-t-il.

Le toulousain Actia impacté par les baisses d’activité dans le domaine agricole et le BTP

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Photo d'un engin de chantier
Spécialiste de l’électronique embarquée, Actia est le chef de file du projet Protech qui vise à développer des solutions embarquées permettant d’atteindre le niveau « zéro » accident dans l’utilisation de divers types d’engins, allant des engins de chantier aux véhicules agricoles. (©Actia)

Les baisses d’activités rencontrées dans les secteurs agricole et du BTP ont impacté les résultats du premier semestre 2024 d’Actia, le spécialiste de l’électronique automobile et des systèmes embarqués pour véhicules. L’entreprise toulousaine a en effet annoncé le 22 octobre une baisse de 3,2 % (soit - 9,2 M€) de son chiffre d’affaires consolidé qui s’établit à 279,5 M€ pour les six premiers mois de l’année.

La division Mobility qui représente sur la période 238,3 M€, soit environ 80 % du CA du groupe, enregistre en effet un recul des ventes aux clients Engins spéciaux (-28 %) et Poids Lourds (-7,7 %). Ce recul est toutefois partiellement compensé par la croissance des activités dans le domaine des Bus & Cars (+13,2 %), du Ferroviaire (+9,1 %) « témoignant une nouvelle fois de la pertinence de la stratégie de diversification du groupe », affirme ainsi Actia dans un communiqué.

Les autres divisions du groupe, à savoir Aerospace, Energy et Engineering Services, pèsent respectivement pour 31,3 M€, 12 M€ et 18,3 M€ dans le CA d’Actia, ce dernier segment enregistrant une croissance de ses ventes de 34,4 % sur le premier semestre.

« Le contexte économique de cette première partie de l’année s’est détérioré affectant plusieurs secteurs d’activités, dépassant les baisses attendues sur de nombreux clients, notamment dans le domaine des engins spéciaux (engins de chantier et matériels agricoles), mais affectant également de nouveaux secteurs comme les constructeurs de véhicules légers et de poids lourds », reconnait ainsi le groupe. La mise en production de nouvelles solutions devrait toutefois permettre de limiter l’impact des baisses enregistrées, cependant la visibilité limitée sur l’activité du second semestre conduit le groupe à tabler sur une évolution de son chiffre d’affaires pour l’année 2024 entre +0 et - 5%.

Pour autant, le groupe « maintient sa feuille de route moyen terme », à savoir un objectif de 800 M€ de chiffre d’affaires en 2027. Implanté dans 17 pays, Actia, qui a réalisé 579,3 M€ de CA en 2023, emploie 4 200 collaborateurs, dont environ 1 450 ingénieurs et techniciens au service de la R&D.

La Région Occitanie va prêter gratuitement des vélos à ses lycéens

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Photo de plusieurs vélos
200 vélos fabriqués en Occitanie seront livrés à partir du 5 novembre 2024 à six établissements de la région. (©Pixabay)

En réponse aux attentes exprimées par les lycéens lors de la concertation menée auprès de la jeunesse d’Occitanie, la Région expérimente un service gratuit de prêt de vélos à assistance électrique pour permettre aux lycéens de réaliser leurs trajets quotidiens.

Les 200 vélos fabriqués en Occitanie par un groupement d’entreprises régionales – Actia en Haute-Garonne, FlyingCat et Seridecal dans l’Hérault, Optitec dans les Hautes-Pyrénées et Vélo Factory dans le Gers – seront livrés à partir du 5 novembre 2024, dans les cinq lycées suivants :

  • au lycée Claude Nougaro à Monteils dans le Tarn-et-Garonne,
  • au lycée Martin Malvy à Cazères en Haute-Garonne,
  • au lycée Pyrène à Pamiers en Ariège,
  • au lycée Jean Jaurès à Saint-Clément-de-Rivière dans l’Hérault,
  • et au lycée Lucie Aubrac à Sommières dans le Gard.

La Région souhaite également expérimenter le prêt d’une flotte de vélos aux établissements, pour répondre aux besoins des usagers potentiels (lycéens, agents de la région, professeurs et personnels administratifs) et des différents usages (sorties scolaires, trajets intra-établissements, déplacements professionnels, déplacements pour les stages, etc.).

L’expérimentation se déroulera au lycée Paul Mathou à Gourdan-Polignan, dans le sud de la Haute-Garonne. L’établissement recevra sa flotte de vélos également cette semaine.

Tarn-et-Garonne : 20,4 M€ de subventions allouées par l’État en 2024

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Photo de la préfecture du Tarn-et-Garonne
Près de 255 projets tarn-et-garonnais ont bénéficié de l’intervention financière de l’État en 2024 pour un montant total de 20,4 M€. (©Ministère-de-l’Intérieur/Préfecture-du-Tarn-et-Garonne)

Vincent Roberti, Préfet de Tarn-et-Garonne, a présidé le 28 octobre 2024 la commission des élus afin de présenter le bilan 2024 des projets d’investissements des collectivités soutenus par l’État, ainsi que l’appel à projets pour l’année 2025.

Ainsi, en 2024, ce sont près de 255 projets au sein du département qui ont bénéficié d’une intervention financière de l’État, pour un montant global de plus de 20,4 M€. Les différentes subventions ont été attribuées sous la forme de dotation d’équipement des territoires ruraux (DETR), de dotation de soutien à l’investissement local (DSIL), du fonds vert ou encore sous la forme de fonds national d’aménagement et de développement du territoire (FNADT).

Ces dotations ont permis de financer les services publics, avec par exemple l’aménagement du groupe scolaire de Labastide-Saint-Pierre ou la création d’un habitat inclusif à Lafrançaise. Elles ont également soutenu des projets économiques, touristiques, en faveur des mobilités et du logement qui renforcent l’attractivité du territoire, comme la construction du pôle touristique et culturel de Fermat à Beaumont-de-Lomagne ou la modernisation du stade de Sapiac à Montauban.

L’appel à projets d’investissements pour l’année 2025 a été lancé ce jeudi 31 octobre 2024. Il se décline en 11 axes d’intervention, dont le domaine économique, social, environnemental, sportif et touristique, ou favorisant le développement ou le maintien des services publics.

Sébastien Bergeret nommé directeur général adjoint d’Opisto

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Sébastien Bergeret. (©Opisto)

Créé en 2010 par deux amis d’enfance à Toulouse (Haute-Garonne), Opisto est devenu en moins de 15 ans un poids lourd de la distribution en ligne des pièces auto d’occasion et aussi le pionnier de la digitalisation du recyclage automobile.

Dans un communiqué daté du 9 septembre 2024, la société a annoncé la nomination de Sébastien Bergeret en tant que directeur général adjoint. Il rejoint les co-fondateurs Johan Branca et Laurent Assis-Arantes au sein de l’équipe de direction. « L’arrivée de Sébastien est une étape importante pour Opisto. Son expérience et sa vision viennent renforcer notre capacité à relever les défis à venir, tout en continuant d’offrir des solutions de haute qualité pour nos clients », expliquent les deux dirigeants qui ambitionnent de tripler le chiffre d’affaires de l’entreprise et de doubler leurs effectifs d’ici trois ans.

Les défis à venir en question ? Entamer une nouvelle phase de développement stratégique, marquée par un fort engagement envers l’internationalisation et le maintien d’un haut niveau de service pour ses clients. Ça tombe bien, à 36 ans, Sébastien Bergeret bénéficie d’une solide expérience internationale, après 14 années passées en Allemagne.

Au sein d’entreprises comme le constructeur canadien Bombardier ou Mimeo, où il occupait respectivement des fonctions clés liées à l’amélioration continue et la stratégie industrielle, ou la supervision d’opérations de production en Europe, cet ingénieur de formation a pu développer de précieuses compétences en gestion opérationnelle et européenne. Son parcours diversifié dans l’industrie ferroviaire et l’imprimerie lui a permis de développer une expertise pointue en gestion de projets de transformation, en amélioration continue et en leadership stratégique.

« Je suis ravi de rejoindre Opisto et de contribuer à son ambition de devenir un leader européen sur le marché de la pièce d’occasion, a déclaré Sébastien Bergeret. Ce qui m’a convaincu de rejoindre Opisto, c’est la vision partagée d’une croissance durable et la culture d’entreprise orientée vers l’amélioration continue et l’innovation. Mais c’est surtout l’engagement fort envers la satisfaction client qui m’a séduit, car c’est une valeur fondamentale pour moi et essentielle pour notre succès futur. »

Les notaires de la Cour d’appel de Toulouse lancent leur podcast

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L'affiche du podcast de la Cour d'appel de Toulouse

Les chiffres donnent le tournis. Selon Médiamétrie, 22 millions de Français écoutent des podcasts chaque mois, c’est deux millions de plus qu’en 2023. Rien qu’au mois de mai 2024, « plus de 170 millions de podcasts français ont été écoutés ou téléchargés dans le monde. Pour la seule France, 134 millions de podcasts français ont été écoutés ou téléchargés au cours de cette même période ».

Encore minoritaire il y a encore quelques années, le format podcast n’a cessé de gagner en popularité. Une popularité sur laquelle espère bien surfer les notaires de la Cour d’appel de Toulouse qui viennent de lancer leur propre contenu audio numérique. Méconnu, le métier de notaire est pourtant essentiel dans notre société. Et pour cause, notre vie est marquée par une série d’événements, heureux ou malheureux, qui requièrent le recours à un notaire : mariage, PACS, achat ou vente d’un bien immobilier, adoption, séparation, création d’entreprise, transmission, succession…

Intitulée « Mon notaire ce partenaire ! », la première saison de cette série animée par la journaliste Sophie Sarrans compte sept épisodes. Sept aventures authentiques et personnelles « qui mettent en lumière tout l’accompagnement et le suivi que nous faisons chaque jour auprès de nos clients et la diversité des dossiers et des sujets sur lesquels nous sommes en mesure de les conseiller au mieux. Les clients quant à eux, viennent témoigner de ce qui fait la qualité de leur relation avec leur notaire et de ce en quoi les conseils prodigués leur sont précieux », explique Me Pauline Marbezy, membre du cercle des jeunes notaires, à l’initiative de ce projet, qui donne rendez-vous aux auditeurs le 5 novembre prochain pour le premier épisode.

Drone : Delair annonce le rachat de son confrère grenoblois Squadrone System

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Photo d'un drone de la marque Delair
Le droniste toulousain Delair annonce l’acquisition de la société Squardrone System et confirme ainsi sa stratégie de développement et accélère le déploiement de sa feuille de route technologique. (© Delair)

Le droniste Delair, installé à Labège (Haute-Garonne), a annoncé dans un communiqué daté du 29 octobre 2024 l’acquisition de la société grenobloise Squadrone System. Créé en 2014, ce fabricant de drones - qui a réalisé 2 M€ de CA en 2022 et emploie 22 collaborateurs - est connu pour sa capacité à produire des drones de série en grande quantité, notamment avec le modèle HEXO+ (+600 exemplaires par semaine). L’entreprise a notamment produit des essaims de drones pour la Direction générale de l’armement (DGA) et a signé des partenariats avec de grands acteurs du monde de la défense comme Thalès et Safran Electronics & Defence.

Avec cette acquisition, l’entreprise toulousaine poursuit sa stratégie de développement comme l’explique Bastien Mancini, son directeur : « Si l’activité sécurité/défense de Delair a été particulièrement dynamique ces deux dernières années, notre positionnement est résolument dual avec l’objectif d’équilibrer nos activités civiles et militaires à moyen terme. Le rachat de Squadrone System nous permet à la fois d’acquérir directement la brique technologique des essaims de drones, mais aussi de développer notre activité civile d’inspection industrielle. »

Avec cette croissance externe, Delair renforce son effectif en passant de 120 à 150 salariés et prévoit de franchir les 30 M€ de chiffre d’affaires dès cette année, contre 10 M€ sur l’exercice précédent. Avec ce nouveau site à Grenoble, la société s’implante dans un écosystème technologique de pointe. « Cette acquisition est parfaitement alignée à notre feuille de route qui s’articule autour de cinq grandes briques technologiques (énergie, traitement d’image, guerre électronique, essaims et certification). Les synergies dégagées vont nous permettre de gagner un temps précieux dans une compétition européenne et mondiale toujours plus intense », précise le directeur de la société qui compte désormais trois pôles de développement en France : à Toulouse, Marseille et Grenoble.

Pour sa 3e édition, l’Occitanie Export Tour fait à nouveau escale à Toulouse et Montauban

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Photo de l'Occitanie Export Tour
Cet évènement itinérant, qui fait étape dans les 13 départements de la région, est le rendez-vous annuel incontournable de l’export en Occitanie. (©CCI Occitanie)

Les CCI d’Occitanie et les experts de la Team France Export donnent rendez-vous aux chefs d’entreprise de la région pour amorcer ou accélérer leur développement à l’international avec la troisième édition du Occitanie Export Tour. Itinérant, cet événement fera étape à la CCI de Montauban (Tarn-et-Garonne) le lundi 25 novembre et le mardi 26 novembre à la CCIO de Toulouse, à Blagnac (Haute-Garonne).

Stratégie, réglementation douanière et fiscale, prospection, financement… à chaque étape, des conférences techniques sont organisées pour permettre aux dirigeants d’en apprendre un peu plus sur les mécanismes à l’export, émaillées de témoignages de TPE/PME.

À Montauban, l’après-midi s’articulera autour d’un atelier pour savoir comment bien choisir sa distribution à l’international : agents, distributeurs, vente en ligne et E-commerce. Animé par des experts Team France Export, ce temps d’échange collectif passera en revue les aspects opérationnels, juridiques et réglementaires. Des rendez-vous avec un expert représentant le Danemark, la Suède et la Finlande sont aussi prévus. Peuvent y participer les entreprises industrielles et artisanales immatriculées au RCS avec au moins un an d’existence. Pour connaître le programme détaillé de la journée du lundi 25 novembre et s’inscrire, cliquez-ici.

À Toulouse, la matinée sera ponctuée par de nombreuses conférences sur des thèmes variés comme l’intelligence artificielle au service de votre activité export, les enjeux de l’interculturel pour aborder et réussir son business à l’international ou encore comment et pourquoi faire le choix des marketplaces pour un déploiement à l’international. Tout au long de la journée, des rendez-vous à la carte  avec la Team France Export et ses partenaires sont proposés pour bâtir votre projet à l’international . Pour connaître le programme détaillé de la journée du mardi 26 novembre et s’inscrire, cliquez-ici.

L’Occitanie Export Tour réunit de fait de très nombreux partenaires : le réseau des CCI d’Occitanie, Business France, l’agence régionale de développement économique Ad’Occ, la Région Occitanie, Bpifrance, les Conseillers du commerce extérieur de la France (CCEF), la Douane, l’Institut national de la propriété industrielle (INPI), Enterprise Europe Network ainsi que la Chambre de métiers et d’artisanat d’Occitanie.

À Toulouse, le MEETT accueille du 1er au 3 novembre deux salons autour du vin, du chocolat et du terroir

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Deux salons en un ! Voilà ce que vous propose du vendredi 1er au dimanche 3 novembre 2024 les équipes du MEETT, le parc des expositions, centre de conventions et congrès de Toulouse avec l’édition d’automne 2024 du Salon Chocolat & Gourmandises qui se déroulera en même temps que le Salon Vins & Terroirs.

Côté vins, le salon voit grand avec la présence de plus de 350 exposants, vignerons et producteurs. Avec 227 appellations de vins et autres producteurs récoltants venus de toute l’Hexagone, mais également d’Italie, du Mexique ou d’Argentine, les amateurs de nouveaux cépages auront l’opportunité unique de faire le tour de France en un salon. À noter que cette année, l’art du cocktail est mis à l’honneur avec la présence d’Alexis Taoufiq qui confectionnera en direct de délicieux cocktails artisanaux à la française et proposera même un atelier sur l’art de mixologie.

Côté terroir, quelque 70 exposants seront présents pour faire (re)découvrir plus de 120 saveurs régionales : sirops et vinaigres artisanaux, pâtes alimentaires artisanales, nougats, miels... Parmi les nouveaux venus, des producteurs de lavande. Parce que oui, cuisinée fraîche ou sèche la lavande est devenue un ingrédient commun dans les recettes salées et sucrées.

Côté chocolat et gourmandises, près d’une cinquantaine de chocolatiers et confiseurs sont attendus, parmi lesquels : la Maison Pillon, Chocolaterie Castan, Bello & Angeli, Maison Escarnot, de la Fève au Palais, Salon Cacao’T, tandis que Janie Chocolaterie Artisanale d’Albi ou encore la pâtisserie ambulante La Yofi Touch.

Au programme de ces trois jours dédiés aux épicuriens : dégustations œnoludiques (sur réservation en ligne), présentation du processus de vinification avec les étudiants de l’ENSAT, vente aux enchères avec 400 lots à saisir ou encore animations culinaires originales et gourmandes avec le lycée des Métiers de l’Hôtellerie et du Tourisme d’Occitanie.