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Pour répondre au désir de ses collaborateurs, aspirant à un impact social plus fort le groupe toulousain Newrest, spécialisé dans la restauration hors foyer a annoncé récemment la création d’une fondation dénommée « Foundation Unlimited ». Elle a pour ambition d’agir « pour la protection, le développement et l’accomplissement de l’individu ». Le groupe, qui figure parmi les leaders mondiaux du catering multisecteurs, a prévu de doter cette fondation à hauteur de 1,5 % du résultat net annuel consolidé. Elle agira dans trois domaines : la protection de l’individu en favorisant l’accès à l’eau et aux besoins alimentaires de base.

Cet axe intégrera également un soutien fort à la recherche médicale contre le cancer ; le développement de l’humain à travers l’accomplissement et la résilience par le sport ; la réalisation des aspirations de chacun par la formation et l’éducation. Plusieurs personnalités composent le conseil d’administration de la fondation dont des experts dans la santé, tels que le Pr François Amalric, directeur général de la Fondation Toulouse Cancer Santé, le Dr Robert Sebbag, infectiologue attaché à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière.

Le fondateur et président de Newrest Olivier Sadran, ainsi que Matthieu Jeandel, son vice-président en font également partie. « Cette fondation d’entreprise répond à une aspiration profonde de nos collaborateurs ainsi qu’à une conviction personnelle, précise Olivier Sadran dans un communiqué. L’individu est au coeur de nos métiers. Par cette fondation nous aspirons à l’accompagner dans chacune des étapes de la réalisation de son potentiel. Cela passe bien entendu par la capacité à bénéficier d’une éducation de qualité, structurante. Mais nous voulons également lui permettre de s’élever ou se relever grâce aux valeurs et au cadre véhiculés dans le sport. Toutes ces actions seront menées dans chacun des pays où nous opérons. »

Fin mai, Vincent Etchebehere, le directeur du développement durable et des nouvelles mobilités d’Air France, était à Toulouse pour présenter la stratégie de décarbonation de la compagnie. Air France s’est en effet donné l’objectif de réduire de 30 % ses émissions par passager-km d’ici 2030 par rapport à 2019. Pour se donner les moyens de son ambition, la compagnie nationale a décidé d’activer tous les leviers de décarbonation à sa disposition :

• Le renouvellement de sa flotte avec des avions de nouvelle génération plus économes (- 25 % de CO₂) et dont l’empreinte sonore est réduite de 33 % en moyenne. D’ici 2030, ces appareils représenteront 70 % de sa flotte contre 7 % en 2021 grâce à un investissement d’un milliard d’euros par an.

• Le recours accru aux carburants d’aviation durables (SAF), permettant 80 % de réduction d’émissions de CO₂ en moyenne.

• La pratique de l’éco-pilotage, trajectoires de vol optimisées grâce à l’intelligence artificielle, descente en continu en collaboration avec le contrôle aérien… Ces initiatives, permettent d’éviter de 4 à 5 % d’émissions de CO2 en moyenne par vol.

• Le développement de l’intermodalité, afin de proposer des alternatives de transport à faible empreinte carbone pour les trajets de courte distance, notamment dans le cadre du renforcement du partenariat entre Air France et la SNCFautour du produit « Train + Air », disponible sur 33 lignes TGV en France.

Le même jour, un important contrat a été signé avec le groupe Latécoère, spécialisé dans la sous-traitance d’équipements aéronautiques, pour l’intégration de ce dernier au programme « Sustainable Aviation Fuel Corporate » d’Air France-KLM. Déjà signataire en 2022, ce renouvellement vient confirmer l’engagement de l’entreprise toulousaine en matière de développement durable.

Cheffe du pôle médecines d’urgence du CHU de Toulouse, le Pr Sandrine Charpentier a été élue présidente de la Société française de médecine d’urgence (SFMU).

Cette élection est une belle reconnaissance de son engagement et de son expertise en médecine d’urgence au niveau national et au sein du CHU de Toulouse où elle exerce en tant que médecin urgentiste depuis 1995. En 2013, elle a été nommée professeur des universités-praticien hospitalier de médecine d’urgence.

Son implication de longue date à la SFMU lui permet d’intégrer le Conseil d’administration en 2021. Sandrine Charpentier préside aussi depuis 2021 le Collège national des universitaires de médecine d’urgence.

« Favoriser l’émergence de futurs acteurs de l’industrie spatiale, au sein d’un écosystème à la pointe du New Space ». Voilà l’ambition de Thales Alenia Space avec la création du Space Business Catalyst, un accélérateur industriel dédié au secteur spatial. La coentreprise franco-italienne, née en 2007, a annoncé la nouvelle le 4 juillet, à l’occasion des Assises du New Space qui se sont déroulées à Paris.

« Le Space Business Catalyst est une première visant à explorer, créer et sécuriser les conditions nécessaires à l’émergence des futurs acteurs du secteur spatial, en soutenant le développement de projets disruptifs. En tant qu’accélérateur industriel, le Space Business Catalyst accompagnera intrapreneurs et startups en phase de croissance, en veillant à la définition et à la réalisation de leur stratégie d’industrialisation.

Cette structure agile favorisera l’émergence de solutions susceptibles d’engendrer une véritable dynamique de marché, des ruptures technologiques et des axes de développement aux solutions existantes », expliquent la direction dans un communiqué. Basé à Toulouse et à Turin, le Space Business Catalyst dispose d’espaces de 400 m2 accueillant déjà une dizaine de start-ups et intrapreneurs provenant du monde entier.

Porté par la Fédération française des usagers de la Bicyclette (FUB) et soutenu par l’ADEME, le label « employeur pro-vélo » valorise les entreprises, les collectivités et autres structures qui mettent en oeuvre des actions pro-vélo ambitieuses. Le Centre Spatial Toulousain (CST) a annoncé dans un communiqué paru le 13 juillet sa labellisation niveau or, grâce à un score de 46.75/59 points.

Installation de stationnements vélo, ateliers d’entretien, mise en place du « forfait mobilités durables » : de nombreuses actions ont été menées par le CST avant la labellisation pour favoriser l’usage du vélo par les salariés et réduire leur impact sur l’environnement.

« Afin de valoriser cet engagement, nous nous sommes lancés en 2022 dans l’aventure objectif « employeur pro-vélo », un programme CEE visant à accompagner les employeurs privés, publics et associatifs dans le développement d’une culture vélo sur leurs sites. À l’issue d’un audit effectué à partir d’un cahier des charges contenant cinq thématiques (pilotage et stratégie, communication et mobilisation, services, sécurité et équipements), nous avons obtenu la labellisation niveau OR. Ce résultat est une véritable reconnaissance du travail réalisé par les équipes du CST pour agir de manière positive sur le bien-être physique et mental des collaborateurs et l’environnement. En effet, en plus de réduire les émissions de Co2, le vélo apporte de nombreux bénéfices à tous : amélioration de la qualité de vie au travail, hausse de la productivité (+6 à 9 %), baisse d’absentéisme (-15 %). Aujourd’hui, 408 membres appartiennent à la communauté Bicycnes, contre 208 membres en 2021. » Chaque jour, ce sont entre 263 et 493 vélos qui circulent sur le site du CST.

Spécialisée dans la gestion de patrimoine, la banque privée Milleis a annoncé le 29 juin dernier, la nomination de Grégoire Dalbon comme nouveau directeur de l’espace patrimonial de Toulouse-Occitanie. Âgé de 32 ans, il a commencé sa carrière en 2015 au sein de la Caisse régionale du Crédit Agricole Aquitaine où il occupe alors successivement les postes de conseiller en gestion de patrimoine et de conseiller patrimonial en banque privée.

C’est en juin 2022 que l’intéressé a rejoint les équipes de Milleis Banque Privée en qualité de directeur adjoint de l’espace patrimonial de Biarritz. Aujourd’hui en charge de l’espace patrimonial de Toulouse et d’un bureau situé à Castres, Grégoire Dalbon est à la tête d’une équipe de sept banquiers privés et de trois assistants dont le champ d’action couvre la Ville rose et une large partie de l’Occitanie.

Le projet d’IHU dédié au vieillissement en Santé, porté par le CHU de Toulouse, a été retenu comme Institut Hospitalo-Universitaire émerge dans le cadre du programme « Accélérer notre recherche en santé » de France 2030. Cette décision vient renforcer la visibilité mondiale du Gérontopôle du CHU de Toulouse, placé sous la responsabilité du professeur Bruno Vellas, le premier de France, reconnu comme centre collaborateur de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

L’IHU HealthAge va porter un programme centré sur la compréhension et la prévention du déclin des fonctions liées au vieillissement. Une partie importante du projet repose sur le déploiement du programme Icope (Integrated Care for Older People). Conçu par l’OMS, ce programme a pour objectif de retarder la dépendance en repérant précocement les facteurs de fragilité chez les seniors en ciblant six capacités intrinsèques : la mobilité, la mémoire, la vue, l’audition, l’état nutritionnel et l’humeur.

Ce programme qui permet d’expérimenter une approche préventive des soins se décline en 5 étapes : le dépistage, l’évaluation, l’élaboration d’un plan de soin personnalisé, le fléchage du parcours de soins et suivi du plan d’intervention et la mise en place sur le territoire des ressources nécessaires pour prévenir la dépendance.

La seconde des deux cérémonies de prestation de serment des nouveaux experts-comptables inscrits au Tableau de l’Ordre d’Occitanie en 2022 s’est tenue le jeudi 29 juin au château de Puech-Haut à Saint-Drézéry, dans l’Hérault. 16 experts-comptables ont prêté serment devant les élus de l’Ordre dont Pascal Castanet, président de l’Ordre de la région Occitanie, Eric Gillis, premier vice-président de l’Ordre, et Patricia Bonniol, vice-présidente et contrôleuse principale adjointe du stage Occitanie.

Le Prix du meilleur mémoire d’expertise comptable a été remis, par Hayate El Hanaoui, directrice régionale Interfimo Occitanie, et l’Ordre des experts-comptables à Angélique Salvagnac pour son mémoire : « L’audit légal d’une association tutélaire : analyse des risques et proposition d’un guide méthodologique à l’usage des commissaires aux comptes ».

Les 16 impétrants ont reçu en souvenir une oeuvre originale de l’artiste Julien Soone. Il s’agit de Damien Allard, Sebastien Ausseil, Mahfoud Benali, Jeremy Bertin, Carl Boucher, Charlotte Bourdin, Ludivine Chazal, Julien Dart, Jerome Escourbiac, Daphne Jonquiere, Cedric Lafond, Kevin Masdeu, Kevin Pillon, Angelique Salvagnac, Aurelie Savarin et Helene Soyris.

Dans le cadre de la programmation d’Un été au bord du lac, le Tout Puissant Tropical Orchestra donnera un concert le 12 juillet à 19 heures sur les bords du lac de la Reynerie, 8 rue Carlo Sarrabezolles à Toulouse.

Inspirés par l’afrobeat, la cumbia, la salsa et d’autres rythmes d’Afrique de l’Ouest, les concerts du Tout Puissant Tropical Orchestra sont taillés pour la scène et invitent furieusement à danser. Entrée libre.

Toulouse Tech Transfer investit près d’1,2 M€ dans trois programmes de maturation à fort impact.

• CarPeDi-M, nouveau traitement contre les cancers péritonéaux. Les cancers de l’abdomen d’origine digestive font partie des cancers les plus meurtriers pour lesquels les options de traitement disponibles sont limitées. L’équipe de recherche de Restore a découvert une nouvelle cible dans le traitement des cancers digestifs localisés dans la cavité péritonéale. Le projet est le fruit de huit années de recherche et de deux thèses consécutives. Le programme de maturation prévoit le développement d’inhibiteur de cette nouvelle cible et la validation de leur efficacité in vivo. La valorisation des molécules pourra se poursuivre soit via une biotech existante, soit par la création d’une entreprise pour développer les molécules jusqu’en phases clinique II dans une perspective de rachat par une entreprise de l’industrie pharmaceutique.

• Cellunol, solution de production de bioéthanol de seconde génération. Les biocarburants durables, appelés Sustainable Aviation Fuel (SAF), représentent un marché particulièrement important. Des chercheurs de TBI ont développé la technologie Cellunol, qui utilise une souche de bactérie connue et génétiquement modifiée pour produire du bioéthanol à partir de biomasse lignocellulosique. La future start-up, qui exploitera les résultats de la maturation, vise à bousculer le marché des biocarburants en permettant la production rentable de bioéthanol à grande échelle.

• Learnfram, solution facilitant le développement d’applications IA embarquées. Des chercheurs de l’Irit/INPT ont développé LearnFram, un logiciel qui simplifie le développement d’applications IA embarquées. La solution se base sur un principe de scenarios exécutables qui réduisent le codage tout en intégrant au plus tôt les contraintes de la cible d’exécution. Le programme de maturation vise à consolider le prototype pour faciliter son transfert. Des discussions sont déjà en cours avec une start-up du domaine.

En savoir plus avec : www.toulouse-tech-transfer.com

À 42 ans, Élodie Barlow vient d’être nommée à la tête du pôle conseil stratégique de la filiale toulousaine de l’agence de relations presse Oxygen. Après des études en classes préparatoires littéraires et une maîtrise en littérature anglaise, l’intéressée a commencé sa carrière en Angleterre et y a travaillé pendant 15 ans, notamment dans le secteur de la communication où elle a coordonné des équipes pluridisciplinaires composées d’experts en relations médias, en direction artistique, en événementiel et en marketing digital, dans le but de soutenir la stratégie globale définie.

C’est en 2018 qu’Élodie Barlow a rejoint le groupe Oxygen en qualité de directrice de clientèle. Dans ce nouveau rôle de directrice du pôle, Élodie Barlow a pour mission d’accompagner les clients de l’agence et de nouer de nouvelles collaborations pour résoudre des problématiques stratégiques complexes telles que la raison d’être, la plateforme de marque ainsi que les enjeux de RSE et de marque employeur.

Elle est également responsable de l’orchestration des différents pôles d’expertise de l’agence, tels que les relations médias, l’événementiel et le marketing digital, afin de mettre en oeuvre ces stratégies de manière cohérente et efficace.

Le 22 juin, l’Europe a confirmé son intention d’accompagner financièrement la réalisation du Grand projet ferroviaire du Sud-Ouest (GPSO) : la ligne à grande vitesse entre Bordeaux, Toulouse et Dax. Dans le cadre de l’appel à projets 2022 du « Mécanisme pour l’interconnexion en Europe », ce sont ainsi 32,5 M€ pour les études de la ligne nouvelle et 27,2 M€ pour la première étape des travaux des Aménagements Ferroviaires au Sud de Bordeaux qui sont attribués au GPSO. Une annonce saluée par l’ensemble des acteurs impliqués dans ce projet de mobilité d’envergure.

« C’est une très bonne nouvelle pour la lutte contre le réchauffement climatique et le désenclavement du sud de l’Europe. Nos concitoyens, nos territoires et nos entreprises attendent cette ligne à grande vitesse depuis plus de 30 ans », a notamment déclaré la présidente de la Société du GPSO, présidente de la Région Occitanie, Carole Delga.

Et de poursuivre : « L’Europe confirme aujourd’hui que le projet de ligne nouvelle est un programme stratégique pour les mobilités futures sur notre continent. Depuis la fin des années 30, le réseau ferroviaire français a été divisé par 2,3 quand, dans le même temps, la population a gagné 26 millions d’habitants supplémentaires. GPSO s’inscrit dans la relance du rail que j’appelle de mes voeux au niveau européen face à l’urgence climatique. Désormais, ce projet est pleinement reconnu dans les priorités de l’Europe en matière de développement d’infrastructures sobres, résilientes et performantes. Cette annonce constitue une nouvelle étape déterminante dans la perspective d’engager les premiers travaux dès la fin 2023. »

Depuis 2007, le bureau d’étude conseil Polyexpert Environnement accompagne les grands opérateurs publics comme privés de l’immobilier et de l’aménagement du territoire pour construire des bâtiments durables au service des usagers. L’entreprise, née à Toulouse, est implantée aujourd’hui partout en France à travers neuf agences. Elle compte une soixantaine de collaborateurs et a réalisé en 2022 un CA de 5 M€.

Après 16 ans d’expertise, de conseil et de projets menés aux côtés de ses clients et de ses partenaires, Polyexpert Environnement, filiale du Groupe Polyexpert, change de nom pour devenir Ekkoïa et poursuit son activité et sa croissance. « Nous oeuvrons depuis toujours afin de contribuer à un immobilier responsable, qualitatif, adapté à l’environnement et à l’usager. Des années qui ont façonné notre identité et notre positionnement de bureau d’études multicritères autour de nos quatre pôles métiers : thermique, environnement, acoustique et biodiversité. Et qui nous confèrent aujourd’hui une légitimité et un rayonnement national. C’est le moment que nous avons choisi pour faire évoluer notre identité, plus en phase avec nos métiers et ce que nous sommes, tout en conservant notre appartenance et notre attachement au groupe Polyexpert », a expliqué dans un communiqué Nicolas Duhameau, directeur général d’Ekkoïa.

À partir du 8 juillet, le musée Ingres Bourdelle de Montauban présente aux visiteurs ses deux grandes expositions de l’été 2023. La première baptisée « Bourdelle la mémoire des objets » est réalisée avec le soutien exceptionnel du musée Bourdelle de Paris.

À travers une sélection de 150 oeuvres et objets (photographies, croquis, tenues, outils, etc.) issus de son atelier et de son appartement, l’exposition met en lumière le quotidien d’Émile-Antoine Bourdelle, son histoire, ses goûts artistiques, son travail… Pour « Un miroir du Monde », la deuxième grande exposition de la saison estivale, le musée a donné carte blanche à Anne et Patrick Poirier.

À la fois sculpteurs, architectes et archéologues, le couple s’approprie pour l’occasion la salle du Prince Noir. Un espace monumental du XIVe siècle situé dans les sous-sols de l’établissement avec une installation inédite. Et pour la première fois, l’ancienne prison est également investie.

À travers ces deux installations, le duo que forment Anne et Patrick Poirier, métamorphose les lieux et nous invite à porter un nouveau regard, non seulement sur les vestiges remarquables d’une époque révolue, mais aussi par leur dimension métaphorique, sur le monde actuel. « Bourdelle la mémoire des objets » et « Un miroir du Monde », au musée Ingres Bourdelle de Montauban.

Informations sur le site museeingresbourdelle.com ou au 05.63.22.12.91.

ATR, le constructeur numéro un mondial d’avions régionaux a annoncé la nomination d’Alexis Vidal au poste de directeur commercial. Directement rattaché à Nathalie Tarnaud Laude, sa présidente, il rejoint le comité exécutif de l’entreprise. À 42 ans, il succède à Fabrice Vautier qui prend de nouvelles responsabilités au sein du groupe.

Titulaire d’un master en ingénierie aéronautique de l’École centrale de Lyon et de l’Imperial College London (Royaume-Uni), Alexis Vidal est aussi diplômé d’un master en management d’HEC Paris. Il a commencé sa carrière chez Airbus en 2004 en tant que responsable du développement commercial au sein de la division satellite, aujourd’hui Airbus Defence and Space.

Il a ensuite rejoint Airbus Helicopters en 2007 et occupé divers postes à responsabilités avant d’être nommé directeur commercial pour les secteurs de l’énergie et du leasing en 2016. En 2019, il rejoint Airbus commercial aircraft en tant que responsable des ventes pour le service client. Dans son dernier poste en 2021, Alexis Vidal était responsable du marketing pour les programmes gros porteurs.